Géothermie

Intervention de Laura Seguin – vidéo en fin d’article

Très beau projet, dommage qu’il n’ait pas été entrepris plus tôt, car le gisement exploité existe depuis très longtemps. Le choix des sites alimentés par la géothermie sont tout à fait pertinents. Reste la question du choix de mode de gestion, confié à Dalkia et Véolia. Avez-vous envisagé la gestion en régie publique, qui à l’instar de Mont de Marsan, depuis 20 ans, alimente en géothermie via ses services eaux et assainissement.

Géothermie

Intervention de Laurent Hercé – vidéo en fin d’article

Intéressant pour les logements sociaux, donc les + démunis. Ici, il faut savoir à qui cela est destiné. Comment est soutenu ce projet, qui, au national, a vu baisser de 14% de subventions à destination de l’écologie, qui ont réintégré des pesticides…alors localement, c’est tout à fait louable mais vous êtes dans le camp du national, qui prend des mesures défavorables à l’écologie depuis de nombreuses années. Quel est votre positionnement ?

Repenser l’entrée Est de Sète pour un avenir durable

Tribune Notre agglopôle magazine – juillet/aout 2025

L’entrée Est de Sète est cruciale pour notre agglomération, car l’une des dernières réserves foncières où nous pouvons concrétiser durabilité et solidarité, au-delà de simples constructions. Notre territoire mérite un projet centré sur l’humain et l’environnement. Le projet actuel privilégie encore la construction de logements, sans garantir une réponse aux besoins réels. À Sète, seulement 8% des demandes de logements sociaux ont été satisfaites fin 2024. Nous construisons, mais mal, favorisant les promoteurs plutôt que les habitants. Sans garantie, ces 1800 nouveaux logements pourraient augmenter les résidences secondaires et meublés touristiques, déjà à 22% à Sète. Une solution serait de les destiner à 100% à des résidences principales, comme le permet la loi, mais notre motion en ce sens a été refusée par la majorité sétoise. Notre ambition pour Sète inclut une économie locale durable. Investissons à l’Entrée Est dans les énergies renouvelables, les services à la personne et dynamisons l’artisanat pour offrir des emplois stables et réduire le chômage et la précarité. L’entrée Est est aussi une opportunité pour repenser nos déplacements. Le manque de stationnement et la suppression des parkings gratuits posent problème. Nous devons favoriser les mobilités douces, créer des parkings relais et développer les transports en commun pour désengorger le centre-ville. Enfin, protéger notre environnement est une priorité. L’étang de Thau, menacé par les pollutions urbaines, nécessite une stratégie de moindre développement : aménager moins, ménager l’étang, le vivant, nos ressources en eau et notre cadre de vie.

Vers un parc public de logements plus adapté

Tribune magazine Notre agglopôle – mai /juin 2025

Nous avons voté en conseil d’agglomération un rapport incitant financièrement les organismes de logement social et les communes à promouvoir la diversité sociale de leurs programmes, à proposer un habitat plus adapté aux besoins des publics, plus familial et qui intègre les modes de vie actuels.
Enfin ! Cela fait trop longtemps que l’aménagement du territoire, en particulier à Sète mais aussi à Marseillan, est livré aux promoteurs. Nous avons vu fleurir des horreurs d’urbanisation comme le quartier des Salins ou les immeubles du boulevard de Verdun. Où sont privilégiés partout les T1, T2, à destination de couples, de retraités, de logements secondaires ou d’investisseurs pour de la location saisonnière. Même les bailleurs sociaux ne proposent plus d’appartements répondant au besoins d’espace des familles avec 2 ou 3 enfants, ou d’appartements très sociaux pour les plus modestes. Ce rapport devrait stimuler des offres de logement plus adaptées. Mieux vaut tard que jamais, même si les aménagements ratés resteront en héritage aux futurs élus. D’ailleurs, il est encore temps de revoir la poursuite du projet d’ampleur de l’entrée Est de Sète.
Le budget de l’agglomération a été adopté sans nos votes. Il soutient un projet politique que nous combattons : la privatisation des services, un manque de projet commun de territoire, une transition écologique trop peu intégrée.

Commercialisation ZAE Engaronne – cession de parcelles et abrogations de la délibération du 29 février 2024

Intervention de Laura Seguin – vidéo en fin d’article

Le rapport précise que l’extension du site se situe sur des zones à enjeux modérés à fort en terme de préservation de la faune et la flore, d’habitats et de milieux humides. Dans le rapport, l’extension de Poussan et Gigean comporte un réservoir écologique inscrit dans la trame verte et bleue régionale (schéma de cohérence écologique à préserver). Les espèces identifiés se situent-elles sur ces trames vertes et bleues à préserver ? Des mesures de compensation sont prévues pour 25 hectares de milieux ouverts et semi-ouverts, + 10 hectares de zones humides. La mesure de compensation concerne 5.6 hectares, dès lors, où sont passés les 30 autres hectares à compenser ou sont-elles déjà identifiées ? sans utiliser en zones de compensation le Massif de la Gardiole ou les collines de la Moure qui sont déjà des espaces naturels ? (abstention)

Rapport d’orientation budgétaire

Intervention de Véronique Calueba – vidéo en fin d’article

Précisions demandées sur la GEMAPI. Le montant est de 3.4 M€ mais dans le scénario prévisionnel, ce n’est pas ce montant. Y’a t-il une partie qui va ailleurs ?

Rapport développement durable

Intervention de Laura Seguin – vidéo en fin d’article

Présentation de grands objectifs déclinés en 9 chantiers et 66 projets. Un focus sur l’avis de la Mission Régionale de l’Autorité Environnementale (MRAE) sur le projet de révision du SCOT du Bassin de Thau. En comparant ces 2 documents, il apparait une déconnexion entre les objectifs affichés en termes de développement durable, de protection de l’écosystème, de défis climatiques et l’avis de cette mission au sujet du SCOT, qui planifie l’aménagement du territoire. Détails de ces incohérences flagrantes dans l’intervention vidéo.