Courrier de Laurent Hercé
Aucune réponse n’ayant été apportée au 1er courrier, un 2ème, plus succinct, demandant des réponses, a été envoyé au Maire de Sète.

Pour une ville Ecologique et Citoyenne, Créative et Solidaire
Courrier de Laurent Hercé
Aucune réponse n’ayant été apportée au 1er courrier, un 2ème, plus succinct, demandant des réponses, a été envoyé au Maire de Sète.
Courrier de Laura Seguin transmis au maire, à la Préfecture et au Procureur de la République
Courrier de Laura Seguin
Tribune du magazine municipal Sète.fr – novembre 2025
Lors du dernier conseil municipal, un nouveau parking a été annoncé sur l’un des quais les plus encombrés de la ville. Cette décision interroge : à quelques dizaines de mètres, le parking Aristide Briand est déjà en construction, tandis que ceux de Victor-Hugo ou du Canal sont loin d’être pleins, sauf les jours de marché. Plutôt que de multiplier les parkings en centre-ville, il serait souhaitable de repenser l’ensemble de la politique du stationnement. L’objectif devrait être clair : garantir l’accès prioritaire aux Sétoises et aux Sétois, ainsi qu’aux artisans et professionnels qui ont besoin de se déplacer et de stationner pour travailler, tout en maîtrisant le flux de véhicules extérieurs. Les parkings relais situés aux entrées de ville doivent redevenir une véritable solution, avec des liaisons régulières vers le centre. Cette approche permettrait de préserver la fluidité de la circulation, de réduire la pollution et de maintenir un cadre de vie agréable pour les habitants comme pour les visiteurs. Il ne s’agit pas de refuser l’accueil des visiteurs, mais d’organiser leur venue autrement pour que la ville centre reste vivante sans être saturée. Une telle stratégie suppose une vision d’ensemble, associant stationnement, mobilité et aménagement urbain. En donnant la priorité à ceux qui vivent et travaillent ici, Sète peut concilier attractivité et qualité de vie, sans alourdir encore les finances publiques, sans dénaturer sa singularité et son image.
Tribune du magazine Notre agglopôle – novembre 2025
La compétence de gestion des déchets incombe à l’agglomération. Le constat est sombre, nous produisons trop de déchets d’ordures ménagères et assimilables. Nous ne trions pas assez les emballages et les matières organiques. C’est un vase communiquant car pour diminuer l’un, il faut augmenter les autres et moins consommer de produits emballés.
Une grande action d’explication est à mettre en œuvre. L’ex président condamné par la justice avait stoppé toutes actions pédagogiques auprès de la population. Nous proposons de recréer des brigades d’ambassadeurs du tri et de maîtres composteurs pour aller au-devant de notre population et lui faire prendre conscience du besoin de diminution et du tri des déchets, autant pour la planète que pour les finances de l’agglomération. Il nous faut renforcer le nombre de bacs de tri et surtout de composteurs, rares dans certains villages.
La gestion de la collecte des déchets est un marché juteux. Si elle est en régie dans le nord de l’agglomération, ex CNBT, elle est dans les mains d’un prestataire privé dans le sud du territoire, ex fief du président condamné ! Personne ne s’en étonne, c’est un choix politique habituel pour cette équipe. Nous souhaitons une harmonisation du mode de gestion en passant en régie tout le territoire, et en gardant les emplois. À chaque renégociation des contrats avec le prestataire on s’aperçoit qu’il est très ou trop gourmand !
Selon le dernier rapport présenté en conseil d’agglomération du 25 septembre dernier, les chiffres prouvent que les déchets ménagers par habitant sur notre territoire sont au-dessus de la moyenne nationale. Un gros travail de fond nous attend pour réduire et maîtriser nos déchets
Courrier d’Audrey Vedel au maire de Sète
lLrs du conseil municipal du 29 septembre 2025, seul un power point avait été présenté.
tribune du Sète.fr – octobre 2025
L’été est fini et nous attendons le bilan de la fréquentation touristique. Mais pour beaucoup d’habitants, ce bilan est déjà connu : chaque été, les locations saisonnières se multiplient et il devient de plus en plus difficile de trouver à se loger. Les prix explosent, des familles doivent partir, des jeunes ne peuvent plus s’installer. Le droit au logement des sétoises et des sétois passe après la rentabilité de quelques-uns. Ce modèle enferme aussi notre économie dans la précarité : des emplois concentrés sur deux mois, saisonniers, sans perspectives. Nos jeunes méritent mieux qu’un avenir fait d’emplois jetables au rythme des canicules et des festivals. Nous devons changer de cap. La saison doit s’allonger du printemps à l’automne pour offrir des emplois plus stables et réduire la pression estivale. La ville doit réguler strictement le marché des locations saisonnières pour rendre des logements à celles et ceux qui vivent ici à l’année. Et il faut réserver le stationnement aux habitants, avec des parkings extérieurs pour les visiteurs. Ce modèle de tourisme, qui sacrifie le logement et l’avenir de nos enfants, est à bout de souffle. Nous en sortirons quand nous tournerons la page de ces 24 années de gestion qui ont laissé prospérer cette vision rétrograde
Courrier de Véronique Calueba au Président de Sète agglopôle Méditerranée, au Directeur Général de la SPLBT et du commissariat aux compte.
En date du 16 septembre ce courrier a été transmis, car, sur les sites dédiés aux sociétés, la mise à jour de la SPLBT n’avait toujours pas été effectuée, malgré la démission de son Président, le 30 avril 2025. Lors du conseil communautaire du 25 septembre, il a été confirmé qu’une demande avait été faite au maire de Sète pour avoir communication de ces documents. Une réponse sera apportée.
Il a été en outre constaté une mise en ligne de documents comptables (comptes sociaux), dont les chiffres, par ailleurs, ont été repris en séance de conseil municipal du 29 juin 2025.
Tribune Notre agglopôle magazine – septembre/octobre 2025
C’est la rentrée mais d’une année pas tout à fait comme les autres pour l’agglomération. Année électorale qui, nous l’espérons, fera bouger les lignes dans les villes et villages tenus par la droite. Si les élus communautaires ne sont pas élus au suffrage direct, ils représentent la tendance politique de leur ville. Nous espérons un élan à gauche dans toute l’agglomération car nous en avons besoin : besoin de sortir du privé pour la gestion de l’eau et des déchets, besoin d’affronter et de s’adapter au changement climatique que certains « climato- sceptiques » continuent de nier malgré les canicules de chaque été, besoin de développement des transports publics et objectif de gratuité, besoin de réguler le marché immobilier et tant d’objectifs que nous continuerons à défendre. Alors bonne rentrée à tous et bon combat pour un projet de territoire écologique et solidaire.
Communiqué de presse de Véronique Calueba, Laura Seguin, Laurent Hercé et Arnaud Jean.