Courrier de Véronique Calueba afin de demander un état exhaustif du fonctionnement du traitement et de la facturation de ces déchets. (+ la réponse de l’agglo, sans les précisions demandées).
Au sujet de l’organisation des conseils municipaux et communautaires. Quand les faits sont posés, on comprend mieux les atteintes au débat républicain.
Courrier de Laurent Hercé au Préfet de l’Hérault
Le business de l’eau : pour une régie publique
Tribune Magazine Notre Agglopôle – juillet et aout 2023
Même l’eau n’a pas échappé pas à la dure loi du marché. Sur notre territoire, le service public de l’eau a été privatisé. Éviter les gaspillages et inciter aux économies d’eau n’est pas vraiment un objectif pour l’entreprise qui considère l’eau comme un bien marchand et rémunérateur. Nous souhaitons reprendre la maîtrise en régie publique de ce bien commun, vital et essentiel.
Avec le réchauffement climatique, il y aura moins d’eau dans les prochaines décennies. La maitrise publique de l’eau est un enjeu écologique : pas de profits, les bénéfices de l’exploitation sont réinvestis dans, par exemple la rénovation des canalisations pour lutter contre le gaspillage, ou celle des réseaux d’assainissement qui, débordants, sont des sources de pollution des milieux naturels (l’étang de Thau et les conchyliculteurs en ont encore fait les frais il y a quelques mois).
C’est aussi un enjeu économique et social, puisqu’en moyenne, la gestion privée est 25% plus chère que la gestion publique de l’eau. Cela permet à certaines villes de réduire le prix de l’eau consommé par les usagers. Nous proposons la gratuité des premiers m3 pour tous les besoins vitaux et un surcoût pour les gros consommateurs. Boire, se laver est fondamental, pas remplir sa piscine ou laver sa voiture. En gestion privée, c’est l’inverse : plus on consomme, moins le m3 d’eau est cher, ce qui n’incite pas à la sobriété.
Et c’est enfin un enjeu démocratique. Le retour en régie permet d’assurer plus de transparence et surtout un contrôle citoyen de l’eau.
Sur notre territoire, l’eau potable et l’assainissement sont délégués à SUEZ malgré une forte opposition de la part d’organisations citoyennes et des élu.es d’opposition de gauche et écologistes (exception à Mèze, la distribution de l’eau potable est en régie municipale). Il est temps de tirer un bilan de cette gestion, d’organiser un débat public et de demander l’avis des habitants du bassin de Thau.
Communiqué de presse de – Signalement de la SPLBT à la Chambre régionale des Comptes
Véronique Calueba et Laura Seguin
Vidéo du conseil municipal du 19 juin 2023
Vous pouvez visionner ici la 1ère partie de cette séance ( à partir de 16mn20)
Communiqué de presse de Laurent Hercé
Vidéo du conseil municipal du 19 juin 2023
Vous pouvez visionner ici la 3ème partie de cette séance
Vous pouvez visionner ici la 2ème partie de cette séance. Il a été question du votes des comptes administratifs, d’aménagement urbain, de sécurité avec la SAELit, de finances publiques, avec des avances faites à cette dernière pour la construction du futur centre de surveillance urbaine, mais également de la SPLBT, de transition écologique….
Vidéo du conseil Municipal du 19 juin 2023
Vous pouvez visionner ici la 2ème partie de cette séance.
Il a été question du votes des comptes administratifs, d’aménagement urbain, de sécurité avec la SAELit, de finances publiques, avec des avances faites à cette dernière pour la construction du futur centre de surveillance urbaine, mais également de la SPLBT, de transition écologique…. (ci-dessous l’ordre du jour).
Sur la question des budgets et du haut niveau de subventions, le FEDER (Le fonds européen de développement régional) est un levier puissant et efficace.
A ce niveau important du FEDER pour l’agglo, il serait bon de réfléchir à une ingénierie collective et de conseil pour venir plus en appui aux communes et qu’elles puissent, elles aussi, être bénéficiaires de subventions extérieures.
intervention de Sébastien Denaja
Vidéo du conseil municipal du 19 juin 2023 –
Vous pouvez visionner ci-dessous, la 1ère partie de la séance.
Il a surtout été question du cumul des dossiers à étudier dans un laps de 5 jours (2000 pages) auxquels s’ajoutent dans la foulée, la même masse de documents pour les conseils communautaires et qui concernent Mmes Calueba et Seguin et Messiers Carabasse et Denaja. Cet état de faits a une nouvelle fois été dénoncé et transmis au Préfet.