Cette mesure doit être élargie à toute l’agglo car l’important est d’inciter à utiliser moins de voiture et privilégier les transports en commun.
Intervention de Véronique Calueba à visionner ci-dessous
Pour une ville Ecologique et Citoyenne, Créative et Solidaire
Cette mesure doit être élargie à toute l’agglo car l’important est d’inciter à utiliser moins de voiture et privilégier les transports en commun.
Intervention de Véronique Calueba à visionner ci-dessous
Cette mesure est louable, mais la question de la gratuité des transports en commun se pose de plus en plus. Quel est le chiffrage de la mesure ?
Intervention d’Anne-Monique Lesage à visionner ci-dessous
Le transport, compétence de l’agglo, n’est pas harmonisé sur la totalité du territoire. Pourquoi les modalités sont-elles différentes d’une ville à l’autre ?
Intervention de Sébastien Andral à visionner ci-dessous
Intervention de Laura Seguin
Procéder au remboursement des abonnements une fois ceux-ci pris par les usagers, comme on le propose à Sète, c’est un premier pas vers la gratuité et c’est une bonne chose, mais je doute que cela soit vraiment incitatif pour utiliser davantage les transports en commun. La gratuité totale et globalisée sur l’agglo est l’option que nous défendons depuis longtemps, et qui a montré, dans d’autres villes, qu’elle permet en effet d’amener plus d’usagers dans les transports en commun, et de réduire la place de la voiture en ville. Lorsque cela s’accompagne, bien sûr, de l’amélioration de la qualité du service, de la fréquence, des horaires adaptés aux besoins… Donc à l’échelle de l’agglo ça aurait du sens, il n’y a pas que les sétois qui utilisent les transports en commun.
Ce qu’on voit dans le budget c’est que la vente des billets de transport c’est moins de 10% du budget environ, ce n’est pas beaucoup en terme de recettes. Et finalement, ces 2 millions, ça représente le coût de la gratuité des transports, c’est un choix politique d’investir dans la gratuité.
Nous votons contre.
Cette philosophie est bonne mais pourquoi pas une gratuité directe globalisée sur l’agglo. ? et pourquoi pas une volonté incitative pour faire utiliser les transports en communs avant d’investir dans des abonnements ? Séduire les non utilisateurs serait une option plus pertinente. C’est un choix de l’équité plutôt que de l’égalité, alors que les scolaires de moins de 18 ans devraient bénéficier d’une gratuité quels que soient les revenus des familles. Cela est possible et souhaitable quel que soit son bord politique.
Conseil Municipal du 12 décembre 2022 – Interventions de Véronique Calueba et Sébastien Denaja, échanges complets avec la majorité
Conseil d’agglo du 15 décembre 2022 – Intervention de Véronique Calueba
Budget Annexe transport – Décision Modificative n°1 exercice 2022
Intervention de Laura Seguin
Conseil d’agglo du 9 juin 2022 – Concession de service public pour la gestion et l’exploitation du service des transports publics de SaM et prestations de mobilité durables associées – adoption des tarifs applicables à compter du 1er septembre 2022
Intervention de Philippe Carabasse
Conseil Communautaire, séance du 24-03-2022 – délibération 15 – Budget annexe transports M43 – vote du BP 2022
Intervention de Véronique Calueba
Par rapport à ce budget, j’aimerais savoir quelle part représente la part billetterie ?
Réponses/échanges :
–Norbert Chaplin : à peu près 1.7 M€
–Véronique Calueba : ce qui est peu par rapport au budget
– François Commeinhes : on n’est pas loin de la gratuité
–Véronique Calueba : c’est la raison pour laquelle, je pense, que si nous mettons les choses en perspective, si nous travaillons sérieusement le sujet avec un véritable échéancier, nous pourrions arriver à la gratuité.
–François Commeinhes : suite à vos conseils, on s’est attelés à la tâche.
Compte-rendu de la permanence du 19 octobre 2021 des élu.e.s d’Ensemble pour Sète, Madeleine Estryn et Philippe Carabasse, salle Seincholle, quartier de l’Ile de Thau
Le mardi 19 octobre, Madeleine Estryn et Philippe Carabasse ont tenu une permanence de quartier, à l’écoute des habitants de l’Ile de Thau. Une dizaine d’habitants sont venus, pour moitié de la zone pavillonnaire en bord d’étang et pour moitié des immeubles gérés par Thau habitat et par la ville.
Tous ont souligné que les promesses affichées de rénovation sont reportées depuis des décennies sans explication. Ils disent ne pas avoir pu débattre des aménagements qui sont présentés tout prêts sur des panneaux. Il y aurait eu une réunion séparée pour les occupants des villas avec les services de la ville.
Certains ont écrit des doléances sur un cahier à disposition dans le local de présentation du projet. Ils n’ont pas eu de réponse.
Le projet ne semble pas prévoir de maison de quartier ni de maison de jeunes. Or ils estiment que la fermeture des lieux initiaux (péniche, maison de quartier, MJC) a éteint la vie associative qui assurait la mixité de la vie collective. Il y avait, par exemple 622 adhérents à la maison de quartier et 22 associations.
Les transports en commun sont fréquents, mais, en fin de journée d’école ou de travail, cela représenterait un temps proportionnellement très long de déplacement aller-retour pour une activité hors du quartier. De plus le cout des activités (conservatoire, beaux-arts, sports) est élevé pour des familles modestes. Aucun des participants à la réunion ne connaissait d’habitant inscrit à des activités culturelles en centre-ville.
Ils soulignent que les rénovations dans les HLM de la ville n’ont pas eu de concertation préalable et que leur qualité est médiocre (exemple : doubles vitrages dans les anciennes huisseries non jointifs ou évacuations inadéquates pour les chaudières).
Ils se sont particulièrement plaints de la quantité d’épaves de bateaux et de voitures qui donnent un aspect délabré à un cadre qui était particulièrement beau à l’origine. Ils réclament sans réponse.
Le regroupement des deux écoles maternelles sur un lieu et des deux écoles primaires sur un autre va, selon les habitants, augmenter le trafic automobile pour des parents devant aller rapidement d’une école à l’autre. Le regroupement classique, entre maternelle et primaire liées à un quartier, permet plus les déplacements à pieds.
Ce regroupement imposé semble lié à la construction d’un immeuble supplémentaire. Or, les participants considèrent que la densité des habitations est déjà très importante et ne devrait pas augmenter pour un quartier agréable.
Ils regrettent le départ de la police de proximité.