Intervention de Laura Seguin – vidéo en fin d’article
Juste pour préciser qu’habituellement sur ces deux rapports, nous votons contre parce que nous sommes opposés aux projets, d’un point de vue politique, qui sont portés par ces deux sociétés. Là, nous nous abstenons étant donné que nous soutenons vraiment ces changements de gouvernance qui sont exigés, qui sont demandés et c’était juste pour clarifier notre vote.
Intervention de Laura Seguin – vidéo en fin d’article
Juste pour dire que quand même, en réponse à Monsieur Sabatier, il y a une grande différence entre des réunions sur le terrain où on échange ou on discute et puis des conseils d’administration. On n’est pas quand même dans le même niveau décisionnel dans ces types d’espaces de rencontres et d’échanges. Vous l’avez dit Madame Coste, dans le conseil d’administration, on vote un budget quand même. Ce n’est pas pareil qu’une réunion sur le terrain. Donc c’est d’un point de vue décisionnel, c’est quand même beaucoup plus important d’être vigilant sur qui vient au conseil d’administration. Est-ce que les gens sont bien invités à l’avance, ont les bons dossiers à l’avance etc., plutôt que les réunions de terrain, qui sont certes importantes, mais pas décisionnaires. Donc voilà, nous on salue ces évolutions qui étaient souhaitables parce qu’effectivement c’est des outils publics qui devraient avoir un réel contrôle démocratique et jusqu’à maintenant, ce n’était pas le cas.
Intervention de Véronique Calueba – vidéo en fin d’article
Je pourrais dire « que de progrès ». En tout cas, c’est dommage que lors du dernier conseil municipal, lorsqu’on en a parlé, on n’a pas eu connaissance de cet échange de courriers. Je vais parler de la SAELit, mais la SPLBT, c’est à peu près pareil. On n’a pas eu la lecture des demandes que vous aviez portées et vous n’en avez même pas parlé au conseil municipal. Vous n’avez pas parlé des exigences que vous avez envoyées à son directeur et organisateur. Au-delà des compétences avec lesquelles nous ne sommes pas d’accord pour la SPLBT c’est les parkings en particulier Aristide Briant et pour la SAELit, c’est la façon dont ils aménagent la ZAC Entrée Est et la construction de parking. Au-delà de ces compétences, au dernier conseil municipal, quand on faisait le bilan de l’ensemble des compétences, quand on fait le bilan de la masse financière que gère ces structures, masses financières qui sont souvent garanties par la ville ou par l’agglo. Rien que pour l’année 2024, la SAELit a emprunté 30 M€, si j’ai bien le tableau sous les yeux, plus ce que la ville peut avancer. Tout ça brasse beaucoup d’argent. C’est de l’argent, quelque part, public, parce que ce sont les structures avec les garanties publiques, qui les empruntent. Et on avait constaté en 2025 un conseil d’administration, une assemblée générale. Alors à la limite que le nombre augmente, c’est parfait mais que les élus soient présents parce que, seule Madame Coste représentait les élus. Donc ça veut dire qu’on avait deux structures qui n’étaient pas contrôlées ni gérées par les élus représentant la SAM ou représentant la ville. Et ça tout le monde ne peut que le constater au regard de ces rapports d’activité. Et en fait, elles étaient gérées par qui ? Probablement par l’ancien président de l’agglo, qui voyait certainement le directeur régulièrement. Et elles étaient gérées par les administratifs techniciens, c’est-à-dire Monsieur Clair et son directeur des ressources et directeurs financiers, puisque dans les CA et dans les AG, ils apparaissent eux. Donc moi ça me pose un problème et je salue vraiment les demandes quant à la gouvernance que porte l’agglo, parce qu’on avait vraiment besoin d’un pilotage, on avait besoin de transparence, on a besoin de clarté et par rapport à cet engagement financier et politique. Même si je ne suis pas d’accord avec les projets politiques, ils vous regardent, c’est vous qui les portez, mais quand on engage pour des projets politiques et des projets d’aménagement, d’investissement, autant d’argent public, je pense qu’il faut que les élus soient présents pour donner la température, pour savoir ce qui se passe et qu’on ne donne pas les clés à une seule personne. C’est un peu l’image qu’on en a. En tout cas, ce qui apparaît, pour les projets d’aménagements de la SAELit étaient gérés par une seule personne, le directeur de ces structures-là et on se demande comment il décidait. Alors, j’ose espérer que François Commeinhes décidait avec lui, mais ils avaient l’air d’être bien seuls. Voilà. Donc merci pour ce que vous avez fait en espérant que ce soit accepté par la structure et mise en œuvre dès 2026, indépendamment du résultat des élections quand même, et que la demande de Monsieur Marques, Maire de Sète, soit aussi acceptée de façon à ce que nous ayons un contrôle et une transparence, une clarté sur ce que font ces deux structures-là. D’autant que vous avez demandé aussi un travail autour de la facturation, ça veut dire qu’on ne l’avait pas. Donc ça veut dire qu’on ne savait pas et ça c’est d’autant plus inquiétant. Donc moi je salue ce que vous mettez en place, autant la ville de Sète que l’agglo.
Tribune de décembre 2025 / janvier 2026 – Magazine Notre agglopôle
La compétence de gestion des déchets incombe à l’agglomération. Le constat est sombre, nous produisons trop de déchets d’ordures ménagères et assimilables. Nous ne trions pas assez les emballages et les matières organiques. C’est un vase communiquant car pour diminuer l’un, il faut augmenter les autres et moins consommer de produits emballés. Une grande action d’explication est à mettre en œuvre. L’ex président condamné par la justice avait stoppé toutes actions pédagogiques auprès de la population. Nous proposons de recréer des brigades d’ambassadeurs du tri et de maîtres composteurs pour aller au-devant de notre population et lui faire prendre conscience du besoin de diminution et du tri des déchets, autant pour la planète que pour les finances de l’agglomération. Il nous faut renforcer le nombre de bacs de tri et surtout de composteurs, rares dans certains villages. La gestion de la collecte des déchets est un marché juteux. Si elle est en régie dans le nord de l’agglomération, ex CNBT, elle est dans les mains d’un prestataire privé dans le sud du territoire, ex fief du président condamné ! Personne ne s’en étonne, c’est un choix politique habituel pour cette équipe. Nous souhaitons une harmonisation du mode de gestion en passant en régie tout le territoire, et en gardant les emplois. À chaque renégociation des contrats avec le prestataire on s’aperçoit qu’il est très ou trop gourmand ! Selon le dernier rapport présenté en conseil d’agglomération du 25 septembre 2025, les chiffres prouvent que les déchets ménagers par habitant sur notre territoire sont au-dessus de la moyenne nationale. Un gros travail de fond nous attend pour réduire et maîtriser nos déchets.
Intervention de Laura Seguin – vidéo en fin d’article
J’en profite pour reposer la question à laquelle je n’ai pas eu de réponse tout à l’heure au moment du débat sur le budget et qui portait sur le nombre de postes qui avaient été passés à l’agglo et qui reviennent aujourd’hui à la ville. Ça représente combien de postes exactement ? Et il me semblait que c’était plutôt des postes de cadre. Est-ce que vous pouvez nous en dire plus et anticiper ?
Intervention de Laura Seguin – vidéo en fin d’article
On aurait pu aussi faire la liste à la Prévert des choix que vous auriez pu faire, vous majorité, au bénéfice des sétois et que vous n’avez pas faits. On est quand même dans une ville où 25 % de la population vit sous le seuil de pauvreté. Alors je ne crois pas que l’ensemble des projets que vous avez mentionnés résolve vraiment les problèmes des plus vulnérables d’entre nous dans cette ville. Et quand vous avez fait la liste à la Prévert des projets, il y en a qui sont très coûteux et qui à mon avis ne bénéficient pas directement à cette partie de la population la plus vulnérable. Vous avez mentionné le parking Aristide Briand. Mais dans les choix futurs, il y a aussi le parking à l’emplacement de l’actuel garage Renault qui va nous coûter a priori assez cher et qui a encore une logique d’aspirer les voitures en centre-ville. Et ça va être encore une fois du stationnement coûteux. Par ailleurs, vous avez choisi, vous au sein de la majorité, d’étendre le stationnement payant dans le cœur de ville. Ça c’est aussi un impact sur le porte-monnaie car tout le monde n’a pas les revenus pour se garer dans ces parkings. Vous avez fait le choix d’étendre, on va dire, de développer des places hyper minéralisées. Je pense à la place Victor Hugo, je pense à la future place Aristide Briand où ça va être très difficile pour les plus vulnérables d’entre nous, en particulier ceux qui souffrent des chaleurs l’été de s’y balader, de s’y promener, de s’y poser, de s’y rencontrer. Vous avez aussi des projets, on va dire destinés à une forme d’attractivité, d’image de la ville. Le projet des Bains Douches, le Pont du Conservatoire, vous l’avez mentionné. Je ne suis pas sûre que ces projets-là, très coûteux, soient réellement pensés au bénéfice des plus vulnérables d’entre nous. Et par ailleurs, les choix que vous n’avez pas faits, hormis pour l’école Anatole France récemment, c’est une véritable politique de la rénovation énergétique des écoles. À mon avis, vous avez manqué d’investissement dans ce domaine. Aujourd’hui des écoles et les bâtiments sont dans un tel état que les enseignants et les élèves se retrouvent dans des situations indignes, je trouve. il y fait beaucoup trop chaud ou beaucoup trop froid. Vous n’avez pas assez mis l’accent, en tout cas les pas assez vite, sur la rénovation des logements du parc ancien et sur l’aide à la rénovation énergétique, ce qui fait qu’il y a une partie de la population qui vit encore dans de véritables passoirs thermiques. Voilà. Donc ces choix-là vous ne les avez pas faits, vous en avez fait d’autres. C’est normal que vous ayez fait des choix d’investissement. On n’aurait juste pas fait les mêmes. Voilà, c’est là où se situent les débats politiques. Et j’ai une dernière question à vous poser, c’est sur la mutualisation. Je reviens sur un élément qu’a apporté Madame Calueba tout à l’heure. Effectivement, il y a des postes qui, progressivement sont passés à l’agglomération au cours des dernières années, notamment des postes de cadre, qui aujourd’hui reviennent à la ville. Alors, il n’y a pas que le CSPDR (Conseil Intercommunal de Sécurité, de Prévention de la Délinquance et de la Radicalisation), il y a d’autres postes concernés. J’aimerais bien savoir comment vous le justifiez et qu’est-ce que ça va coûter parce que du coup, ça va être un budget en plus. J’aimerais bien un petit peu savoir comment on envisage ça dans le futur.
Intervention de Laurent Hercé – vidéo en fin d’article
Je reviens dans le cœur du budget sur un point qui pourrait paraître anecdotique mais qui ne l’est pas du tout parce que je pense qu’il va parler à l’ensemble de nos concitoyens. C’est une seule ligne qui figure dans le budget, c’est la ligne 1345 qui concerne, si je comprends bien, alors vous m’arrêtez si je me trompe, mais si j’ai bien compris, une recette qui est une sorte de dotation de l’État qui est faite grâce aux amendes de police et de radar et qui donc est rétrocédée à la ville. Cette année, ça a été budgété pour 950 000 € de recette. C’était précédemment 850 000 €. Et donc cette recette, elle est fléchée, c’est-à-dire qu’elle est censée servir à budgéter des actions de sécurité routière notamment. Or la sécurité routière, c’est un aspect que l’on a tendance à oublier parce qu’on parle beaucoup de sécurité, on a beaucoup parlé de narcotrafic et c’est vrai que c’est un sujet qu’il faut traiter en priorité, mais on oublie de dire que dans la sécurité ce qui touche en priorité les citoyens c’est de pouvoir se promener tranquillement dans les rues, de pouvoir circuler tranquillement dans les rues et malheureusement si on fait un bilan des blessés et des morts sur le mandat qui vient de s’écouler, on s’apercevra que le principal problème de sécurité, il vient de la circulation motorisée. C’est là où nous avons le plus de blessés et de morts régulièrement. Or, il se trouve. Vous confirmez que ce budget doit être affecté à la sécurité routière ? et il se trouve que j’aime bien moi mesurer concrètement sur le terrain. J’avais mesuré la température à différents endroits du sol au centre-ville pour constater qu’effectivement on avait besoin d’ombrager pas mal d’endroits. J’avais mesuré le bruit dans quasiment toutes les rues de la ville. J’ai acquis un petit radar et je me suis amusé à commencer à mesurer la vitesse des véhicules sur un certain nombre d’axes. Alors, j’avais pas du tout l’intention de parler de ça aujourd’hui, mais il se trouve que les premiers résultats que j’ai obtenus sont assez inquiétants et ça concerne bien le budget. Là, je vous parle de cette ligne de budget qui doit être affectée à 100 % à la sécurité routière. Or, ce que je constate, c’est que si je mesure la vitesse par exemple sur la promenade du Maréchal Leclerc limitée à 30 km/h, j’obtiens des résultats où pas un seul véhicule ne roule à moins de 30 km/h. Donc, j’ai 100 % d’infractions. Évidemment, on ne va pas verbaliser les gens qui roulent jusqu’à 40-45km/h, mais il y a des gens qui roulent jusqu’à 50-60 -70 km/h. La raison probable, c’est que on a très peu de signalisation. On n pas fait l’effort de matérialiser la réduction de vitesse. Je vais je vais vous poser la question, simplement elle est évidente. Les limitations de vitesse ne sont absolument pas respectées et la signalisation n’est pas correcte. Je vous le dis, promenade du Maréchal Leclerc 70 km/h, en face de Auchan 100 km/h. Comment est-ce que vous affectez cette ligne de budget qui est une dotation de l’État à la sécurité routière ? Est-ce que vous avez pris la peine depuis ces 6 ans de mandature de faire une signalisation qui puisse imposer aux sétois de respecter la limite de vitesse autorisée ? C’est tout. Et je ne vois pas cette signalisation. Et donc ce budget, je me demande comment il a été dépensé, où est-ce qu’il a été affecté.
Intervention de Véronique Calueba – vidéo en fin d’article
Je voudrais d’abord remercier monsieur Escargel de nous avoir fait une analyse sur les comptes du département, mais une analyse sur les recettes et pas sur les dépenses. Et là, ce serait un sujet sur lequel on pourrait s’entretenir parce qu’il est très lié quand même à une conjoncture nationale et une conjoncture locale, à une pauvreté, à la fragilité de notre population que nous devons prendre en compte. Et la TVA qui est très liée à la consommation est quelque chose d’assez variable. On n’est pas là pour discuter du département ou de la région, sinon on n’en finit plus. On est là pour parler d’un projet politique que vous portez qui n’est pas le nôtre. Ce sont des choix politiques que chacun défend. Donc restons dans le cadre. Alors effectivement par rapport à ce que vous nous aviez présenté la dernière fois, on a noté, et vous les avez notées aussi, pas mal de différences surtout en termes de personnel. Je n’ai pas compris quel était le service qui allait être démutualisé, mais peut-être il y en aura d’autres. Donc vous anticipez là-dessus. Je ne sais pas si ça sera neutre parce que la mutualisation permettait aussi à ce que l’agglo paye une partie des salaires en contrepartie d’une partie du temps donné à l’agglo. Et donc la mutualisation ne s’est pas faite dans une idée de mutualiser pour la bienveillance et les bienfaits de l’agglo. Je pense que c’est aussi parce que les villes et la ville de Sète en particulier s’y retrouvaient. Vous avez parlé de la diminution de la contribution de l’État. Effectivement, on le voit par rapport au côté recettes de fonctionnement. Vous avez parlé aussi de l’épargne brute qui diminue encore. Elle était annoncée à 11,7M€, elle passe à 11,4M€ et toujours avec un financement par l’emprunt. La dette augmente aussi, car en 2024 son montant était de 80% et dans ce document, elle atteint 100 %. Traduction : la dette correspond à une année de fonctionnement ! Donc là, on atteint un seuil critique, car en 2 ans, vous avez fait beaucoup d’investissements avec les élections dans 3 mois. Ceux qui vont prendre la suite, n’auront pas beaucoup de marges, et seront confrontés à des difficultés. Par ailleurs, nous n’avons pas les mêmes choix d’investissement et c’est sur ces choix-là que nous ne sommes pas d’accord. Et pour y revenir, je vous conseille de venir en parler au département. J’ai invité il y a quelques années Monsieur Sabatier mais je vous invite également Monsieur Escarguel et nous en parlerons tranquillement.
*Sur la réponse apportée par Mr Escarguel* > Vous nous avez fait un joli inventaire à la Prévert, c’est-à-dire que vous utilisez cette assemblée pour faire votre campagne municipale. C’est de bonne guerre mais ce n’est pas très correct. Ceci dit, quand on gère une ville *interruption* Vous venez de faire un inventaire à la Prévert et moi ce que je voudrais dire au sétois, c’est que quels que soient les gens qui sont élus, quand on dépense en investissement 30 ou 40 M€, heureusement qu’il y a, à la fin d’un mandat, une liste à donner à la population, sinon ça serait catastrophique. Que vous soyez là, que j’y sois, que monsieur Denaja ou monsieur Pacull y soient, on aurait tous eu une liste à présenter. Il y a des choses bien dans ce que vous avez fait, il y a d’autres choses sur lesquelles on s’est battus. On n’aurait pas fait la place Aristide Briand, on n’aurait pas fait le parking. En tout cas, on aurait fait la place sans faire le parking. C’est après des choix politiques et sur des projets politiques qu’on discute ici. Donc vous faites la liste, c’est bien joli, ce n’est pas pour la campagne électorale, c’est juste pour informer les sétois. On est en fin de mandat. Ce n’est pas très compliqué quand vous cumulez entre 30 et 40 M€ à investir sur la ville, d’égrener mes investissements réalisés. Si vous n’aviez rien à dire, cela aurait été très inquiétant. Vous en rajoutez un peu.
Tribune du magazine municipal Sète.fr –Décembre 2025 / janvier 2026
Le maire dit vouloir mieux « encadrer la densification » et répondre « à la demande de logements des actifs ». Quel revirement !
Durant 6 ans, il a voté toutes les délibérations permettant un projet démesuré et hors-sol à l’Entrée Est : 1 850 logements, des immeubles jusqu’à 16 étages, et une tour de 40 m à l’entrée de la ville. Jamais il n’a exprimé la moindre réserve. Jamais il n’a demandé la transparence sur la SAELIT.
Jamais il n’a contesté les choix contribuant à l’explosion des prix du logement. Rien pour maîtriser l’essor des résidences secondaires. Rien pour garantir des logements à l’année. Rien pour réduire l’attente interminable d’un logement social.
Là, soudain, il découvre ce besoin criant et voudrait apparaître comme le défenseur d’un urbanisme maîtrisé ? On ne devient pas protecteur du cadre de vie après 6 ans d’approbation systématique.
Nous défendons une autre voie : une entrée de ville apaisée à taille humaine, pensée d’abord pour l’économie locale, l’emploi et les besoins réels des gens. Nous défendons le droit au logement pour tous quel que soit son revenu, par une politique volontariste de réduction des résidences secondaires, de rénovation du bâti ancien, de création de logements sociaux adaptés aux besoins réels.
La révision du PLU doit être l’occasion de tourner la page d’un urbanisme opaque. Sète mérite un projet clair, concerté, et une vision d’avenir assumée, pas des conversions de dernière minute.
Nous vous souhaitons une très belle fin d’année à tous.