Nous avons saisi la justice après les refus réitérés des responsables du chantier sur la Place Aristide Briand, d’autoriser l’huissier et l’expert à accéder au chantier et aux divers documents (13 mars 2025), comme stipulé dans l’ordonnance du 6 mars 2025.
Rapport d’orientation budgétaire
Intervention de Véronique Calueba – vidéo en fin d’article
Précisions demandées sur la GEMAPI. Le montant est de 3.4 M€ mais dans le scénario prévisionnel, ce n’est pas ce montant. Y’a t-il une partie qui va ailleurs ?
Rapport d’orientation budgétaire – exercice 2025
Intervention de Véronique Calueba – 2 vidéos en fin d’article
Ce rapport est une présentation du budget prévu pour 2025 mais non encore présenté. Néanmoins, cela n’empêche pas de noter une baisse subie par les collectivités locales, dû à des gouvernements que je n’ai pas soutenus…Interrogeons-nous sur la suppression de la taxe d’habitation, qui a supprimé des ressources aux collectivités qui offrent les services publics et les services au public. Intégralité des interventions en vidéo.
Construction de la nouvelle salle Brassens, aux abords de la Médiathèque François Mitterrand
Intervention de Laura Seguin – vidéo en fin d’article
L’ancienne salle a été détruite et le parking des Halles, étendu. cette nouvelle salle dans une zone déjà tendue en terme de circulation, aurait mérité un autre projet, tel qu’un espace vert. Le coût total est estimé à 3.55 M€, mais vu l’explosion des budgets pour la construction du parking Aristide Briand, à proximité, je m’interroge. Devra-t-on attendre de voir la facture ou le budget initial sera multiplié par 3, pour savoir combien elle aura coûté ?
Plaisanciers du quai des Moulins
Intervention de Sébastien Andral – vidéo en fin d’article
L’occupation est facturée sans pour autant qu’un service soit présent : ni eau, ni électricité. L’éclairage est présent jusqu’à la clinique Sainte Thérèse, puis disparait jusqu’à Frontignan.
Les plaisanciers du quai des moulins face à des vols et des dégradations.
Intervention d’Arnaud jean – vidéo en fin d’article
Face à cette situation, une pétition a été remise à la municipalité, avec demande de sécurisation aux abords du quai des Moulins, malgré la hausse des tarifs.
Demande de précisions sur la politique d’octroi des subventions à Sète
Intervention de Sébastien Denaja – vidéo en fin d’article
La politique d’octroi des subventions est quelque peu illisible – quels sont les critères retenus ? quelles sont les raisons des baisses ou des annulations ?
La sécurité, affaire des polices nationale, municipale et des concitoyens concernés.
Tribune Sète.fr – février 2025
Depuis PLACE NETTE , ces 2 polices ont permis de démanteler les points de deal sur l’Ile de Thau et leur présence régulière avec l’appui du collectif d’habitants, ramènent du calme sur le quartier. On peut s’en féliciter. Pourtant Thau Habitat décide d’engager une milice privée de sécurité qui patrouillera 1 fois/ semaine sur le site pour la somme de 450 000€! C’est très cher payé en engraissant des sociétés privées. On aurait préféré recruter des policiers ou installer un commissariat de proximité. Mais la ville va subventionner cette milice à hauteur de 200 000€. Pour trouver les fonds, la ville a supprimé l’abattement de la taxe foncière d’Hérault Logement, le bailleur social du Département (185 000€ / an), qu’il ne versait pas à la ville mais utilisait pour aménager les espaces verts, financer des postes de médiateurs et des actions au profit des habitants et des logements. C’est fini, l’action sociale et le bien être des locataires. Les habitants de l’île de Thau logés au Département seront donc privés par la ville d’actions solidaires et de mieux vivre au profit des habitants des logements de la Ville. C’est de la discrimination! Une honte et une vaste opération de communication. Car le maire nous dira que c’est grâce à sa milice privée que la sécurité a été rétablie. Ne soyons pas dupes, ce sera le résultat du travail de nos polices, de l’investissement des habitants et des associations présentes.
Face au chaos politique, bâtir une réponse aux besoins essentiels de la population.
Tribune du magazine « Notre agglopôle » – décembre 2024/janvier 2025
Nous élus de gauche et écologistes, refusons de rester spectateurs de la situation politique inédite et alarmante de notre pays. Depuis la dissolution de l’Assemblée Nationale jusqu’à la censure du gouvernement et sa démission, la France s’enfonce dans une crise démocratique et institutionnelle sans précédent. E.Macron est responsable de ce désastre, en refusant de reconnaître le verdict législatif qui a placé en tête le NFP. Ces bouleversements nationaux ont des répercussions dramatiques sur nos territoires. Nos collectivités locales, subissant des années de coupes budgétaires et de désengagement de l’État, se retrouvent encore en 1ère ligne pour répondre aux besoins des citoyens. Et elles sont prises en étau : dotations globales de fonctionnement toujours plus maigres, injonctions contradictoires à faire «plus» avec «moins».
Le quotidien de nos concitoyens en souffre directement, notamment avec des services publics de proximité asphyxiés. Ajoutons des choix locaux d’investissement de la majorité Commeinhes, déconnectés des besoins réels avec des infrastructures tape-à-l’œil : parkings souterrains pour touristes, statues aux entrées de ville. Nous avons besoin de rénovation énergétique des logements, de logements sociaux, de transports publics accessibles et gratuits, de renforcement des services publics, de soutien aux petites entreprises locales. Nous avons aussi besoin d’adapter nos villes aux futures crises climatiques et d’investir dans la transition écologique.
Nous croyons fermement que le sursaut collectif viendra des élus de proximité, des citoyens, des syndicats et associations, car ils sont les mieux placés pour connaître les véritables besoins pour notre territoire.
En 2025, notre mission sera plus que jamais de bâtir un avenir solidaire, écologique et résilient, malgré les vents contraires. Nous le ferons avec détermination et responsabilité. Nous vous souhaitons une année 2025 sereine et apaisée, en espérant que cet avenir soit bientôt une réalité partagée.
Ballades artistiques, 20 ans 20 statues – convention d’occupation du domaine public
Intervention de Véronique Calueba – vidéo en fin d’article
Au Château d’eau, l’œuvre de 100 000 € est installée. Nous ne sommes pas contre l’art, mais vous avez choisi l’art figé alors que la période nécessite des choix politiques en cohérence avec les besoins essentiels de la population.