Courrier de demande de la convention règlementaire pour les déversements liés à une activité. Cette convention est obligatoire comme en atteste la liste transmise par la collectivité et sur laquelle apparaissent toutes les entreprises exerçant une activité nécessitant un rejet dans les réseaux d’assainissement.
Charte Coalition Ocean Rise & Coastol Resilience pour un partenariat renforcé entre les villes et régions côtières face à l’élévation du niveau de la mer
Intervention de Laurent Hercé – vidéo en fin d’article
Le risque majeur évalué à 100% dans 30 ans par l’Unesco, c’est un risque de tsunami pour la Méditerranée . Avons-nous prévu ce risque et faisons-nous partie du système d’alerte ?
Charte Coalition Ocean Rise & Coastol Resilience pour un partenariat renforcé entre les villes et régions côtières face à l’élévation du niveau de la mer
Intervention de Laura Seguin – vidéo en fin d’article
La cartographie présentée sur le recul du trait de côte a été marquante et nous interroge sur l’avenir de notre territoire, mais y’ aura-t-il une déclinaison à l’échelle de Sète afin de rendre visible pour la population, les quartiers, les quais, les zones qui vont être impactés ?. Car en matière d’immobilier, les ventes continuent sans se poser la question de la pérennité des biens ou des sites. Quel est le niveau d’information proposé à la population, et comment, nous ville de Sète, peut-on améliorer cette information et sensibilisation pour que les sites concernés soient clairement identifiés pour les acquéreurs. Ne pas laisser dans le flou et éviter à l’équipe suivante, la gestion de ce dernier. A Frontignan, une campagne est menée en ce sens.
Charte Coalition Ocean Rise & Coastol Resilience pour un partenariat renforcé entre les villes et régions côtières face à l’élévation du niveau de la mer
Intervention de véronique Calueba – 1 vidéo en fin d’article
Après un bilan intermédiaire du PPA (Projet Partenarial d’Aménagement) sur le recul du trait de côte, à l’agglo, porté par l’agglo, cette dernière va-t-elle adhérer à cette coalition, car l’intérêt est global pour notre territoire ?
Restauration collective : repas à 1 €
Intervention de Sébastien Andral – vidéo en fin d’article
Ceux gagnant 1500 € mensuels et ceux en gagnant 7 ou 10 000 paieront le même tarif. Sodexo n’est pas sollicité et cela coûte 107 000 e à la ville. en mettant cette compétence en régie, avec des circuits courts, des producteurs locaux, une qualité nutritionnelle augmentée, on favorise le développement durable et l’économie locale. Et le coût de cette mesure estimé à 107 000 €, sera très vite résorbé.
Commercialisation ZAE Engaronne – cession de parcelles et abrogations de la délibération du 29 février 2024
Intervention de Laura Seguin – vidéo en fin d’article
Le rapport précise que l’extension du site se situe sur des zones à enjeux modérés à fort en terme de préservation de la faune et la flore, d’habitats et de milieux humides. Dans le rapport, l’extension de Poussan et Gigean comporte un réservoir écologique inscrit dans la trame verte et bleue régionale (schéma de cohérence écologique à préserver). Les espèces identifiés se situent-elles sur ces trames vertes et bleues à préserver ? Des mesures de compensation sont prévues pour 25 hectares de milieux ouverts et semi-ouverts, + 10 hectares de zones humides. La mesure de compensation concerne 5.6 hectares, dès lors, où sont passés les 30 autres hectares à compenser ou sont-elles déjà identifiées ? sans utiliser en zones de compensation le Massif de la Gardiole ou les collines de la Moure qui sont déjà des espaces naturels ? (abstention)
Rapport développement durable
Intervention de Laura Seguin – vidéo en fin d’article
Présentation de grands objectifs déclinés en 9 chantiers et 66 projets. Un focus sur l’avis de la Mission Régionale de l’Autorité Environnementale (MRAE) sur le projet de révision du SCOT du Bassin de Thau. En comparant ces 2 documents, il apparait une déconnexion entre les objectifs affichés en termes de développement durable, de protection de l’écosystème, de défis climatiques et l’avis de cette mission au sujet du SCOT, qui planifie l’aménagement du territoire. Détails de ces incohérences flagrantes dans l’intervention vidéo.
Marché de la restauration collective avec Sodexo
Interventions de Laura Seguin et Sébastien Andral – vidéo en fin d’article
Ce marché court jusqu’à 2026 et une augmentation de 42% à la charge de la commune, sans impacter les familles. Pourquoi ne pas revoir ce dossier et considérer d’autres modes de gestion, comme une régie publique. Les villes ayant expérimenté et pérennisé ce mode en tirent de nombreux avantages : qualitatif, tarifaire et en terme de développement économique en impliquant les acteurs locaux.
Face au chaos politique, bâtir une réponse aux besoins essentiels de la population.
Tribune du magazine « Notre agglopôle » – décembre 2024/janvier 2025
Nous élus de gauche et écologistes, refusons de rester spectateurs de la situation politique inédite et alarmante de notre pays. Depuis la dissolution de l’Assemblée Nationale jusqu’à la censure du gouvernement et sa démission, la France s’enfonce dans une crise démocratique et institutionnelle sans précédent. E.Macron est responsable de ce désastre, en refusant de reconnaître le verdict législatif qui a placé en tête le NFP. Ces bouleversements nationaux ont des répercussions dramatiques sur nos territoires. Nos collectivités locales, subissant des années de coupes budgétaires et de désengagement de l’État, se retrouvent encore en 1ère ligne pour répondre aux besoins des citoyens. Et elles sont prises en étau : dotations globales de fonctionnement toujours plus maigres, injonctions contradictoires à faire «plus» avec «moins».
Le quotidien de nos concitoyens en souffre directement, notamment avec des services publics de proximité asphyxiés. Ajoutons des choix locaux d’investissement de la majorité Commeinhes, déconnectés des besoins réels avec des infrastructures tape-à-l’œil : parkings souterrains pour touristes, statues aux entrées de ville. Nous avons besoin de rénovation énergétique des logements, de logements sociaux, de transports publics accessibles et gratuits, de renforcement des services publics, de soutien aux petites entreprises locales. Nous avons aussi besoin d’adapter nos villes aux futures crises climatiques et d’investir dans la transition écologique.
Nous croyons fermement que le sursaut collectif viendra des élus de proximité, des citoyens, des syndicats et associations, car ils sont les mieux placés pour connaître les véritables besoins pour notre territoire.
En 2025, notre mission sera plus que jamais de bâtir un avenir solidaire, écologique et résilient, malgré les vents contraires. Nous le ferons avec détermination et responsabilité. Nous vous souhaitons une année 2025 sereine et apaisée, en espérant que cet avenir soit bientôt une réalité partagée.
Rapport de la Chambre Régionale des Comptes
Intervention de Véronique Calueba – vidéo en fin d’article
C’est un débat important, et même si les idées se confrontent, l’enjeu, c’est un projet de territoire…avec des problématiques de logement, de tourisme, de priorisation de financements, de mobilités…