Rapport sur le prix et la qualité du service d’eau potable – SAEP Balaruc Les Bains – Balaruc le Vieux – Frontignan

Intervention de Laura Seguin – vidéo en fin d’article

J’avais suggéré, parce que je suis dans ce groupe de travail, qu’on y invite des associations et en particulier, il y a une association un peu experte sur notre territoire sur les questions d’eau potable et d’ailleurs je voulais saluer Monsieur Baëza qui avait intégré cette association dans sa commission extramunicipale du cycle de l’eau. Je trouve souhaitable pour nous aussi d’associer également « la société civile » qui peut nous aider, nous éclairer pour ce choix de futur mode de gestion.

Rapport sur le prix et la qualité du service d’eau potable – SAEP Balaruc Les Bains – Balaruc le Vieux – Frontignan

Intervention de Véronique Calueba – vidéo en fin d’article

Sans rentrer dans une polémique idéologique, je pense que ce sujet est assez important pour le mettre aussi en perspective avec tous les travaux que nous menons par rapport à l’adaptation, au changement climatique, à la raréfaction de la ressource en eau et poser comme fondamental que ce n’est pas uniquement une question économique mais aussi une question éthique. Elle traverse les toutes les idéologies représentées, et peut être d’ailleurs très fédératrice. Une question éthique autour de la rareté de l’eau, de ce qu’on en fait, comment on gère cette problématique de la raréfaction, et comment on la met à disposition de nos concitoyens dans une dynamique, on le sait puisqu’on le vit déjà sur le département, où l’eau va devenir de plus en plus rare et qu’il faut qu’elle soit équitablement répartie. Donc j’espère que dans le cadre de la réflexion de ce cabinet, on ne sera pas uniquement centré autour de problèmes techniques, financiers, de lien avec l’entreprise, mais aussi sur une réflexion un peu éthique par rapport à ce sujet-là.

Pour une politique de gestion des déchets beaucoup plus ambitieuse.

Tribune de décembre 2025 / janvier 2026 – Magazine Notre agglopôle

La compétence de gestion des déchets incombe à l’agglomération. Le constat est sombre, nous produisons trop de déchets d’ordures ménagères et assimilables. Nous ne trions pas assez les emballages et les matières organiques. C’est un vase communiquant car pour diminuer l’un, il faut augmenter les autres et moins consommer de produits emballés. Une grande action d’explication est à mettre en œuvre. L’ex président condamné par la justice avait stoppé toutes actions pédagogiques auprès de la population. Nous proposons de recréer des brigades d’ambassadeurs du tri et de maîtres composteurs pour aller au-devant de notre population et lui faire prendre conscience du besoin de diminution et du tri des déchets, autant pour la planète que pour les finances de l’agglomération. Il nous faut renforcer le nombre de bacs de tri et surtout de composteurs, rares dans certains villages. La gestion de la collecte des déchets est un marché juteux. Si elle est en régie dans le nord de l’agglomération, ex CNBT, elle est dans les mains d’un prestataire privé dans le sud du territoire, ex fief du président condamné ! Personne ne s’en étonne, c’est un choix politique habituel pour cette équipe. Nous souhaitons une harmonisation du mode de gestion en passant en régie tout le territoire, et en gardant les emplois. À chaque renégociation des contrats avec le prestataire on s’aperçoit qu’il est très ou trop gourmand ! Selon le dernier rapport présenté en conseil d’agglomération du 25 septembre 2025, les chiffres prouvent que les déchets ménagers par habitant sur notre territoire sont au-dessus de la moyenne nationale. Un gros travail de fond nous attend pour réduire et maîtriser nos déchets.

Plan Local d’Urbanisme – modification n°5

Intervention de Véronique Calueba – 2 vidéos en fin d’article

Avant tout, je voudrais revenir sur ce que vous avez reproché à Madame Segin. Dans le cadre de l’enquête, j’ai lu attentivement ce qu’a exprimé la directrice des hôpitaux et ça n’a pas l’air d’être tout à fait ce que madame Gizardin affirme. En effet, la directrice de l’hôpital a fait des remarques assez acerbes, on va dire, vis-à-vis de ce de ce projet de modification en expliquant que vous n’avez pas pris la peine de l’informer des contraintes que va imposer cette modification, qu’elle est concernée car c’est encore une partie de sa propriété, qu’il y aura une incidence sur la réalisation du projet de l’hôpital sur sa propriété, qu’elle peut vous décrire les empêchements de l’hôpital etc. Donc là-dessus, je ne sais pas, vous n’avez peut-être pas lu le ce qu’elle en dit. Je n’ai rien à ajouter à ce qu’a dit ma collègue. La seule chose que je voudrais vous demander, c’est qu’au-dessus de l’hôpital, il y a un boulevard qui s’appelle le boulevard Jean-Mathieu Grangent qui arrive non loin. Et dans le cadre d’une densification de cet endroit puisque dans le secteur de l’hôpital, vous prévoyez quand même d’urbaniser autour du parking des dialyse, entre autres. Garderez-vous le projet de continuation du boulevard Jean-Mathieu Grangent. Enfin, c’est très méprisant de parler des projets municipaux, que ça soit le vôtre ou le nôtre en les comparant à un catalogue de la Camif. Et pour les gens qui nous écoutent, il faut arrêter, Monsieur Sabatier, ces propos bas de gamme. Pour rappel, au sujet du boulevard Jean-Mathieu Grangent, vous parlez de compenser, il me semble pourtant que nous avons adhéré à la démarche « Éviter, Compenser, Réduire ». Donc, je préférerais qu’on mette en place le volet « Éviter » avant de parler et c’est d’ailleurs ce que la loi nous demande. D’abord, on essaie d’éviter avant de penser à compenser et puis de réduire puisque c’est à cette démarche-là que nous avons adhéré.

vidéo 1

vidéo 2

Rénovation globale de l’école Jean Macé –

Intervention de Véronique Calueba – vidéo en fin d’article

Pour répondre un peu à ce qu’a dit tout à l’heure Vincent Sabatier, moi je n’ai été qu’une simple professeure des écoles toute ma carrière et j’ose espérer que les élus, quels qu’ils soient, à tous les niveaux, représentent notre société. Je suis bien d’accord qu’il n’y a pas besoin d’avoir que des énarques et on sait que certaines classes sociales, les ouvriers, les employés sont très peu représentés et c’est peut-être la seule assemblée au sein de laquelle on peut avoir une vraie représentativité qu’on a plus au niveau de l’Assemblée Nationale et encore moins au niveau du Sénat. Concernant la rénovation de l’école Jean Macé, que je connais bien,  effectivement il y a énormément de besoins. Ce qui m’inquiète un peu, c’est que c’est une école de type « Pailleron »,  donc c’est un « truc » qui est bourré d’amiante. On parle d’une rénovation à + de 6M€, et je ne sais pas comment vous allez faire. Peut-être aurait -il été plus judicieux de la raser totalement et de la refaire parce que là il va falloir la vider. Je ne sais pas comment vous allez vous y prendre. D’autant qu’il me semble avoir vu qu’ 1M€ dans le budget pour l’année prochaine, donc je suppose que ça va être fait par tranche et que ces tranches-là, avec l’amiante, c’est hyper contrôlé. 1M€ pour l’année prochaine ne signifie pas que ça va être fait l’année prochaine. C’est peut-être les formes d’études ou autres. Et la deuxième question que j’avais, c’est l’espace qui va être partagé avec Les Pergolines dans vos projets. Donc la perte du terrain de sport ; est-il prévu la réhabilitation du terrain de tennis qui n’est pas loin ainsi que et le terrain de sport et de ne pas tout donner aux Pergolines ? Je ne me souviens plus du plan de masse présenté.

vidéo de l’intervention

PPP (partenariat public/privé) – rapport annuel 2024-2025 sur la rénovation et la gestion de l’éclairage public, la signalisation lumineuse tricolore et les équipements électriques urbains.

Intervention de Laura Seguin – vidéo en fin d’article

Avant tout, Mr Marquès, ne nous refaites pas le coup d’un conseil municipal avec autant d’ordres du jour. Il est 1h du matin, nous sommes tous fatigués. Si c’est délibéré pour qu’on ne parle pas… J’avais des choses à dire sur le stationnement et la SPLBT et sur d’autres points ! Je ne le ferai pas.

Il est dit dans le rapport, que nous avons un gain de 56 % sur la consommation électrique dans l’intervalle 2013-24. Alors, c’est une bonne nouvelle mais je vous rappelle que l’objectif final du contrat, c’est 63 % de réduction de la consommation électrique. Autant dire qu’on y est presque. Et la question que j’ai à vous poser, est simple : une fois que le délégataire a rempli son objectif de 63 %, est-ce que on peut lui attribuer des objectifs au-delà ? Est-ce que les objectifs sont révisables en cours de route ou non ? Parce-que moi j’ai l’impression qu’on est un peu prisonnier d’un plafond bas. Éventuellement préciser qui a véritablement réalisé les réductions de consommation électrique. Le progrès technologique. Par exemple, les LED effectivement qui n’étaient peut-être pas prévisibles à la signature du contrat, mais qui, sont une obligation légale.  L’obligation à réglementer les nuisances lumineuses etc. Donc ce n’est pas la magie du PPP qui nous fait aller vite dans la réponse aux obligations du contrat. Non ! Ce sont les évolutions technologiques et les obligations réglementaires. On aurait pu atteindre ces objectifs aussi en régie publique. Donc ma question, elle est simple. Donc, en termes d’objectifs, avez-vous demandé au délégataire de revoir à la hausse les objectifs ?


Concession d’aménagement PNRQAD Centre Ville – Compte rendu annuel à la collectivité – Exercice 2024

Intervention de Laura Seguin – vidéo en fin d’article

Donc, je me permets de prendre quelques minutes pour vous adresser des questions et des remarques. Il y a du travail qui a été fait sur la réhabilitation, mais je ressors quand même à la lecture de ce rapport avec un sentiment que les projets de requalification démarrent lentement, durent parfois plusieurs années, voire, dans certains cas, plusieurs décennies. Il y a des immeubles qui sont fermés depuis plusieurs années. J’ai noté le 28 rue Pascal. Il y a les immeubles du 6, 14 et 29 rues Henri Barbussse, qui sont inscrits dans le programme en 2015 mais en 2025 seul le numéro 14 a été réhabilité. Donc on voit que là on prend du temps notamment pour les deux autres. Les 1,3,5 rue Caraussane dont vous avez parlé, c’est long. La première DUP n’a pas porté ses fruits. Il y en a une nouvelle maintenant parce que la précédente n’a pas abouti. Également un immeuble rue Jean-Jaurès, dont on a revu à la baisse les objectifs d’acquisition de logements et de restitution de logements réhabilités. Donc, on a cette impression que les dossiers sont souvent complexes et on comprend pourquoi :  il y a des interlocuteurs multiples, il y a des propriétaires qui ne sont toujours en capacité d’engager les travaux, en tout cas rapidement. Pourtant, il y a des outils qui existent et il y a des financements possibles, comme vous l’avez montré. J’aimerais bien avoir une idée un peu plus précise des ressources humaines consacrées à ces grands projets de réhabilitation du cœur de ville, notamment combien de personnes sont affectées à instruire les dossiers ANAH, par exemple. Au sein du service hygiène et santé, qui lutte aussi contre l’insalubrité, Combien de ressources humaines sont affectées à l’application du permis de louer ? Petite parenthèse, le permis de louer, on s’en félicite aujourd’hui. C’est nous qui l’avions porté en conseil municipal il y a maintenant quelques années. Ça avait été un peu discuté mais refusé. On avait porté ensuite le permis de louer au conseil d’agglo, où il avait fini par être accepté. Donc je me félicite qu’aujourd’hui on trouve que c’est un super outil pour lutter contre l’insalubrité des logements. Effectivement nous on est dans de la construction, et toute idée que vous jugez pertinente est bonne à prendre. On se félicite que celle-ci a été reprise et vous en félicitiez aujourd’hui. Mais voilà au-delà de ces complexités liées à des interlocuteurs multiples, à des propriétaires qui n’ont pas les capacités par manque de moyens ou d’effectifs pour faire avancer les dossiers. Je me demande quand même s’il n’y a pas un problème aussi de choix politique. Je ne m’adresse aux services, je m’adresse aux élus. Vous avez fait le choix politique de prioriser la construction neuve plutôt que la réhabilitation, parce que je constate qu’on construit quand même du neuf beaucoup plus vite qu’on réhabilite de l’ancien. Et si on avait mis un vrai coup d’accélérateur sur la réhabilitation de l’ancien depuis des années, peut-être qu’on n’aurait pas eu besoin de construire tous ces logements neufs qui ont défiguré certains quartiers de Sète.

Je me disais que les missions de la SPLBT et de la SAElit affectées à ces réhabilitations, peut-être qu’elles devraient avoir une orientation politique beaucoup plus forte vers la requalification, la réhabilitation. Elle devraient être beaucoup plus moteur de ça, mais ça dépend de la volonté politique, de nous, élus au sein de ce conseil municipal plutôt que moteur de grands projets immobiliers comme on voit à l’Entrée Est.

SPLBT – Compte Rendu Annuel à la Collectivité -CRAC- Exercice 2024

Intervention de Laura Seguin – vidéo en fin de séance

Une question très concrète, j’ai  commencé à poser tout à l’heure mais je n’ai pas eu vraiment de réponse. C’est sur le type de logements qu’on a déjà produits parce-que je ne trouve pas clairement les informations dans le rapport d’ailleurs. C’est assez dommage. Il y avait donc environ 1800 logements prévus dont 25 % de logements sociaux. Ça fait 450 logements sociaux attendus. Mais dans ce qui a été effectivement déjà produit, si je comprends bien, il y a 0 % de logement social pour l’instant. 450 logements, parce-que là, je vois qu’il y a le lot 22 qui a été cédé à PROMOLOGIS qui sera entièrement dédié à du logement social mais il n’a pas encore été fait. On est d’accord. Et donc tout ce qui a été fait pour l’instant ne contient pas de logement social. Ma seconde question, en termes de type de logement social entre PLAI, PL et PLS qui ont des critères de niveau de loyers différents. C’est quoi la répartition attendue au niveau de Sète Thau Habitat ?  Est-ce qu’on s’est assuré que ce qu’on produit là en termes de logement social et de type de logement social, ça répond véritablement aux besoins de logements sociaux qui sont inscrits dans le plan local de l’habitat ?

On a été interpellés par des habitants du Kursaal qui s’inquiètent du projet… ils avaient qu’ils étaient à côté d’un port mais ne savaient pas pour l’aménagement de parkings et routes. Sur la ZAC Entrée Est rive sud : quid du projet de nouvelle entrée des voyageurs et usagers des ferries du port de Sète ? C’est une nouvelle voie depuis l’avenue Martelli, très bien pour désengorger le cœur de ville. Mais je me demande comment cela va être accueilli par les habitants du quartier du Kuursal, quand ils vont voir cette voie de 1,5 km en bas de chez eux, au pied des résidences, accompagnée de plusieurs parkings d’embarquement.

Le problème qui se pose c’est en effet que votre majorité s’est entêtée à faire ici du logement, rien que du logement, à proximité directe d’une zone d’activité économique vivante, qui est le Port, qui continue à se développer, avec son lot d’impacts voire de nuisances, de pollutions…

Faire cohabiter des logements avec un port, c’est quand même compliqué, pour des questions de nuisances, de pollutions…Et lorsque vous avez fait ce choix on vous avait pourtant dit qu’on devrait privilégier un quartier dédié à l’économie, à l’artisanat, qui aurait pu être construit en lien avec le Port d’ailleurs. On ne se serait pas retrouvé avec cette situation qui va être compliquée pour les habitants de ces logements…

Dernière question : permis de construire des lots : qui sont les architectes qui les ont obtenus ? Peut-on avoir la liste ? Mais moi, ce que je pointe quand même, mais on vous l’avait dit depuis le début autour de cette ZAC, c’est qu’il ne fallait pas construire du logement à proximité immédiate d’une zone économique comme celle-là qui se développe, qui évidemment a sa vie propre, à sa vie économique et qui génère des nuisances. Il ne fallait pas y construire du logement, il fallait dédier cette zone là à de l’activité économique, à de l’artisanat ce qui aurait beaucoup mieux cohabité avec les activités du Port.

Contrat de Gestion lntégrée Eau et Climat du territoire de Thau 2025-2029

Intervention de Laurent Hercé – vidéo en fin d’article

Le problème que pose cette délibération, c’est que vous nous demandez de voter un dossier qui comporte entre 4 et 500 pages, qui comprend 137 actions, mais en réalité avec des sous-actions, il en comporte 233. Il concerne 41 territoires, 5 agglomérations et c’est quelque chose que l’on reçoit 5 jours avant le vote. Donc moi, j’aurais aimé étudier ce dossier en détail et notamment l’ensemble des actions parce que comment savoir si toutes ces actions sont valides, si elles ont été chiffrées correctement ? Je suis bien en peine de le savoir. Je suis dans l’impossibilité, en réalité, de pouvoir statuer là-dessus. J’ai une question, est-ce que ces dossiers et donc les pièces, les annexes, tout ce qui figure dans cette délibération étaient consultables précédemment ou est-ce que ça pouvait nous être adressé en amont ? Ne serait-il pas possible, à l’instar des budgets, de pouvoir débattre sur le contenu du dossier et puis ensuite de pouvoir voter après étude approfondie à la fois suivante, parce-qu’ honnêtement, je suis persuadé et ce sera le cas dans d’autres communautés ou dans d’autres collectivités qui vont peut-être statuer là-dessus, que personne n’est en capacité de prendre connaissance de la totalité des détails du dossier.


 

Modification du PLU

Intervention de Laura Seguin – vidéo en fin d’article

Vous lancez aujourd’hui la révision du PLU en affirmant vouloir « mieux encadrer la densification » et « répondre à la demande de logements des actifs ».
Il était grand temps. Quel revirement ! Parce que depuis 10 ans, votre majorité — avec M. Commeinhes et avec vous M. Marquès — a multiplié les révisions partielles sans vision d’ensemble et a validé les projets qui ont défiguré beaucoup de nos quartiers. Vous semblez découvrir aujourd’hui les problèmes que vous avez vous-mêmes créés ! Je prends 2 exemples :

Entrée Est : Vous parlez maintenant de revoir le projet ? Rappelons que c’est votre opération. Un projet de 1 800 logements rive sud, une tour à l’origine de 49 mètres  pour 16 étages à l’entrée de Sète, une défiguration de notre entrée de ville que vous avez votée ! Pendant 6 ans, aucune réserve, aucune demande de transparence sur la SAELIT, et même aucune demande de garantie que ces nouveaux logements répondront bien aux besoins des sétois, et notamment seront réservés à l’habitation principale (notre motion que vous avez refusé de voter).

Le cœur de ville : Le SCOT en cours de révision dit clairement qu’il faut réparer les dégâts écologiques causés par trop d’imperméabilisation, notamment dans les centres villes. Qui a validé ces choix ? Place Aristide Briand, minéralisée, surchauffée, disparition des arbres, exactement l’inverse de ce qu’il faudrait faire face au changement climatique…

Donc l’année 2026 sera celle des élections et de la révision du PLU, grande occasion pour élus et population de réparer les incohérences faites par votre majorité. Car vous avez participé à tout ça. Ça va être difficile pour vous de vous faire défenseur d’un autre modèle après 6 ans d’approbation systématique. Excusez moi mais ça ressemble bien à un revirement de dernière minute…car les grandes orientations que nous devons prendre correspondent à ce que nous défendons depuis des années :

Une Entrée Est revue intégralement, à taille humaine, tournée vers l’économie locale et l’emploi.

Une politique du logement volontariste, pour l’année, pour les familles, pour les travailleurs.

Un PLU écologique, enfin aligné sur les enjeux climatiques : végétalisation, désimperméabilisation, protection des espaces, recul du trait de côte…

Un urbanisme clair et concerté, pas des revirements de dernière minute.