Intervention de Sébastien Denaja – vidéo en fin d’article
La politique d’octroi des subventions est quelque peu illisible – quels sont les critères retenus ? quelles sont les raisons des baisses ou des annulations ?
Pour une ville Ecologique et Citoyenne, Créative et Solidaire
Intervention de Sébastien Denaja – vidéo en fin d’article
La politique d’octroi des subventions est quelque peu illisible – quels sont les critères retenus ? quelles sont les raisons des baisses ou des annulations ?
Intervention de Véronique Calueba – 2 vidéos en fin d’article
L’abattement de la taxe sur le foncier bâti bénéfice aux bailleurs sociaux, en privant Hérault Logement de cet abattement. Vous considérez donc que priver des habitants de l’Ile de Thau gérés par HL est recevable afin que d’autres habitants gérés par Sète Thau Habitat en bénéficieront. Il serait bienvenu de voter lors du prochain conseil municipal, l’abattement pour HL car pour l’instant nous faisons face à un processus de discrimination. Le montant de ce préjudice correspond aux 200 000 € de la nouvelle police des bailleurs dont vous avez validé l’action par expérimentation sur notre ville.
Intervention de Véronique Calueba – vidéo en fin d’article
La gestion d’une structure culturelle ne doit pas être dévolue à un organisme tel que le CCAS. Nous avons des opérateurs culturels dont c’est le métier.
Intervention de Laura Seguin – vidéo en fin d’article
La création de festival de théâtre amateur est une initiative d’Alain Rizzolo, père de Véronique Calueba et récemment décédé. C’est une occasion de lui rendre hommage publiquement.
Intervention de Véronique Calueba – vidéo en fin d’article
Au Château d’eau, l’œuvre de 100 000 € est installée. Nous ne sommes pas contre l’art, mais vous avez choisi l’art figé alors que la période nécessite des choix politiques en cohérence avec les besoins essentiels de la population.
Intervention de Véronique Calueba – vidéo en fin d’article
La contribution par élève des écoles privées de Sète passe de 695 à 748 €. Elle couvre des dépenses de fonctionnement (entretien locaux, chauffage, produits d’entretien, fluides, assurances, frais de personnels etc…). Nous nous abstiendrons.
Intervention de Sébastien Andral -vidéo en fin d’article
La multiplication des financements des écoles privées, avec des enseignants payés par l’état, comme les professionnels de santé libéraux payés par la CPAM, interroge. Il faudrait nous expliquer en quoi le privé est réellement privé quand il est à ce point financé par de l’argent public.
Intervention de Véronique Calueba – vidéo en fin d’article
L’empressement à voter un budget est assez incompréhensible. Il suffit d’avoir des conventions de prolongation avec les partenaires, ainsi la gestion de la ville n’est pas gelée, les sétois ne sont pas en péril et cela permet d’attendre le fléchage national des dotations pour prendre les meilleures décisions, car les montants annoncés ne peuvent pas être corrélés à ce qui est encore inconnu. Vous citez des montants de DGF qui ne sont pas encore validés par le budget national. Concernant le développement économique et le contrat de ville plus particulièrement, il est à noter que nous avons un taux de chômage de plus de 40% et la moitié de la population vit en dessous du seuil de pauvreté.
Intervention de Sébastien Denaja – vidéo en fin d’article
la situation économique critique a pour conséquence de contraindre le Département ou la Région à retarder le vote de leurs budgets et ce n’est pas une posture politique. Par ailleurs, nous ne sommes pas obligés de voter le budget en décembre. Les investissements prévus sont aussi des co-financements avec d’autres strates de collectivités territoriales qui n’ont pas encore voté leurs budgets. La prudence est de mise, car s’engager sans être sûr d’avoir les montants de ces co-financements n’est pas raisonnable.
Intervention de Sébastien Denaja – vidéo en fin d’article
Si les panneaux d’affichage se comptent en surface, pourquoi ne pas installer un panneau de 200 m2 à la zone aquatechnique, vous respecterez la loi. En ville, nous avons 15 panneaux au lieu de 28, comme précédemment. La population ne peut se payer un panneau Decaux.