Modification du tableau des emplois – poste budgétaire

Intervention de Laura Seguin – vidéo en fin d’article

J’en profite pour reposer la question à laquelle je n’ai pas eu de réponse tout à l’heure au moment du débat sur le budget et qui portait sur le nombre de postes qui avaient été passés à l’agglo et qui reviennent aujourd’hui à la ville. Ça représente combien de postes exactement ? Et il me semblait que c’était plutôt des postes de cadre. Est-ce que vous pouvez nous en dire plus et anticiper ?

vidéo de l’intervention

Gestion de La Passerelle par le CCAS de Sète

Intervention de Véronique Calueba – vidéo en fin d’article

Oui, je reprends parce qu’on avait déjà posé notre position sur ce sujet. Le CCAS, c’est une structure sociale et socio-culturelle si vous voulez, mais ce n’est pas une structure culturelle et la gestion d’une salle comme celle-là, à mon avis devrait être tenue par des gens dont c’est le métier, la profession. Peut-être mettre en rapport avec le Théâtre Molière ce qui permettrait à la ville aussi peut-être, par La Passerelle, de donner une subvention et d’aider le théâtre qui est situé quand même dans la ville centre et qui accueille en majorité de sétois, ou à une structure culturelle associative dédiée. On peut imaginer, mais à mon avis ce n’est pas au CCAS de prendre en charge une programmation culturelle, donc voilà je répète notre position. Par exemple au lors du dernier CA du théâtre on n’a pas parlé de La Passerelle, j’en ai parlé mais rien n’a été dit sur l’engagement du théâtre au niveau de la programmation de la Passerelle même s’ils ont des partenariats multiples avec plusieurs structures. Vous le voyez par le prisme d’un quartier avec ses besoins, auxquels il faut répondre, qu’il faut élargir aussi en ville pour créer du lien entre le quartier qui de l’Ile de Thau et l’extérieur, parce que le quartier de l’Ile de Thau appartient à la ville et en fait partie. Voilà. Et par ailleurs dans les structures culturelles existantes, il y a de la médiation, il y a une préoccupation d’aller au plus près des gens avec une préoccupation sociale. Il me semble donc qu’il serait plus intéressant de partir d’une position culturelle existante : diffusion de la culture pour tous les publics, y compris les publics les plus éloignés, par de la médiation, par des ateliers etc. D’ailleurs, la salle du haut, c’est une salle de répétition pour les spectacles au départ. Vous partez, il me semble du point de vue d’adapter cette déclinaison à des centres sociaux, à des structures type maison des jeunes, qui n’existent plus. Mais c’est deux points de vue différents. Je préférerais pour cette suggestion partir d’un point de vue plutôt culturel, de médiation et de réflexion sur comment on diffuse la culture. Cette structure est fondamentale sur le quartier et elle pourrait en plus être accompagnée d’autres structures et c’est-à-dire que La Passerelle devienne la maison des jeunes. Une salle de spectacle avec une maison des jeunes à côté je signe dès demain. C’est une un problème de gestion et de point de vue.

vidéo de l’intervention

Budget principal – vote du budget primitif

Intervention de Laura Seguin – vidéo en fin d’article

On aurait pu aussi faire la liste à la Prévert des choix que vous auriez pu faire, vous majorité, au bénéfice des sétois et que vous n’avez pas faits. On est quand même dans une ville où 25 % de la population vit sous le seuil de pauvreté. Alors je ne crois pas que l’ensemble des projets que vous avez mentionnés résolve vraiment les problèmes des plus vulnérables d’entre nous dans cette ville. Et quand vous avez fait la liste à la Prévert des projets, il y en a qui sont très coûteux et qui à mon avis ne bénéficient pas directement à cette partie de la population la plus vulnérable.  Vous avez mentionné le parking Aristide Briand. Mais dans les choix futurs, il y a aussi le parking à l’emplacement de l’actuel garage Renault qui va nous coûter a priori assez cher et qui a encore une logique d’aspirer les voitures en centre-ville. Et ça va être encore une fois du stationnement coûteux. Par ailleurs, vous avez choisi, vous au sein de la majorité, d’étendre le stationnement payant dans le cœur de ville. Ça c’est aussi un impact sur le porte-monnaie car tout le monde n’a pas les revenus pour se garer dans ces parkings. Vous avez fait le choix d’étendre, on va dire, de développer des places hyper minéralisées. Je pense à la place Victor Hugo, je pense à la future place Aristide Briand où ça va être très difficile pour les plus vulnérables d’entre nous, en particulier ceux qui souffrent des chaleurs l’été de s’y balader, de s’y promener, de s’y poser, de s’y rencontrer. Vous avez aussi des projets, on va dire destinés à une forme d’attractivité, d’image de la ville. Le projet des Bains Douches, le Pont du Conservatoire, vous l’avez mentionné. Je ne suis pas sûre que ces projets-là, très coûteux, soient réellement pensés au bénéfice des plus vulnérables d’entre nous. Et par ailleurs, les choix que vous n’avez pas faits, hormis pour l’école Anatole France récemment, c’est une véritable politique de la rénovation énergétique des écoles. À mon avis, vous avez manqué d’investissement dans ce domaine. Aujourd’hui des écoles et les bâtiments sont dans un tel état que les enseignants et les élèves se retrouvent dans des situations indignes, je trouve. il y fait beaucoup trop chaud ou beaucoup trop froid. Vous n’avez pas assez mis l’accent, en tout cas les pas assez vite, sur la rénovation des logements du parc ancien et sur l’aide à la rénovation énergétique, ce qui fait qu’il y a une partie de la population qui vit encore dans de véritables passoirs thermiques. Voilà. Donc ces choix-là vous ne les avez pas faits, vous en avez fait d’autres. C’est normal que vous ayez fait des choix d’investissement. On n’aurait juste pas fait les mêmes. Voilà, c’est là où se situent les débats politiques. Et j’ai une dernière question à vous poser, c’est sur la mutualisation. Je reviens sur un élément qu’a apporté Madame Calueba tout à l’heure. Effectivement, il y a des postes qui, progressivement sont passés à l’agglomération au cours des dernières années, notamment des postes de cadre, qui aujourd’hui reviennent à la ville. Alors, il n’y a pas que le CSPDR (Conseil Intercommunal de Sécurité, de Prévention de la Délinquance et de la Radicalisation), il y a d’autres postes concernés. J’aimerais bien savoir comment vous le justifiez et qu’est-ce que ça va coûter parce que du coup, ça va être un budget en plus. J’aimerais bien un petit peu savoir comment on envisage ça dans le futur.

vidéo de l’intervention

Budget principal – vote du budget primitif

Intervention de Laurent Hercé – vidéo en fin d’article

Je reviens dans le cœur du budget sur un point qui pourrait paraître anecdotique mais qui ne l’est pas du tout parce que je pense qu’il va parler à l’ensemble de nos concitoyens. C’est une seule ligne qui figure dans le budget, c’est la ligne 1345 qui concerne, si je comprends bien, alors vous m’arrêtez si je me trompe, mais si j’ai bien compris, une recette qui est une sorte de dotation de l’État qui est faite grâce aux amendes de police et de radar et qui donc est rétrocédée à la ville. Cette année, ça a été budgété pour 950 000 € de recette. C’était précédemment 850 000 €. Et donc cette recette, elle est fléchée, c’est-à-dire qu’elle est censée servir à budgéter des actions de sécurité routière notamment. Or la sécurité routière, c’est un aspect que l’on a tendance à oublier parce qu’on parle beaucoup de sécurité, on a beaucoup parlé de narcotrafic et c’est vrai que c’est un sujet qu’il faut traiter en priorité, mais on oublie de dire que dans la sécurité ce qui touche en priorité les citoyens c’est de pouvoir se promener tranquillement dans les rues, de pouvoir circuler tranquillement dans les rues et malheureusement si on fait un bilan des blessés et des morts sur le mandat qui vient de s’écouler, on s’apercevra que le principal problème de sécurité, il vient de la circulation motorisée. C’est là où nous avons le plus de blessés et de morts régulièrement. Or, il se trouve. Vous confirmez que ce budget doit être affecté à la sécurité routière ? et il se trouve que j’aime bien moi mesurer concrètement sur le terrain. J’avais mesuré la température à différents endroits du sol au centre-ville pour constater qu’effectivement on avait besoin d’ombrager pas mal d’endroits. J’avais mesuré le bruit dans quasiment toutes les rues de la ville. J’ai acquis un petit radar et je me suis amusé à commencer à mesurer la vitesse des véhicules sur un certain nombre d’axes. Alors, j’avais pas du tout l’intention de parler de ça aujourd’hui, mais il se trouve que les premiers résultats que j’ai obtenus sont assez inquiétants et ça concerne bien le budget. Là, je vous parle de cette ligne de budget qui doit être affectée à 100 % à la sécurité routière. Or, ce que je constate, c’est que si je mesure la vitesse par exemple sur la promenade du Maréchal Leclerc limitée à 30 km/h, j’obtiens des résultats où pas un seul véhicule ne roule à moins de 30 km/h. Donc, j’ai 100 % d’infractions. Évidemment, on ne va pas verbaliser les gens qui roulent jusqu’à 40-45km/h, mais il y a des gens qui roulent jusqu’à 50-60 -70 km/h. La raison probable, c’est que on a très peu de signalisation. On n pas fait l’effort de matérialiser la réduction de vitesse. Je vais je vais vous poser la question, simplement elle est évidente. Les limitations de vitesse ne sont absolument pas respectées et la signalisation n’est pas correcte. Je vous le dis, promenade du Maréchal Leclerc 70 km/h, en face de Auchan 100 km/h. Comment est-ce que vous affectez cette ligne de budget qui est une dotation de l’État à la sécurité routière ? Est-ce que vous avez pris la peine depuis ces 6 ans de mandature de faire une signalisation qui puisse imposer aux sétois de respecter la limite de vitesse autorisée ? C’est tout. Et je ne vois pas cette signalisation. Et donc ce budget, je me demande comment il a été dépensé, où est-ce qu’il a été affecté.

vidéo de l’intervention

Budget principal – vote du budget primitif

Intervention de Véronique Calueba – vidéo en fin d’article

Je voudrais d’abord remercier monsieur Escargel de nous avoir fait une analyse sur les comptes du département, mais une analyse sur les recettes et pas sur les dépenses. Et là, ce serait un sujet sur lequel on pourrait s’entretenir parce qu’il est très lié quand même à une conjoncture nationale et une conjoncture locale, à une pauvreté, à la fragilité de notre population que nous devons prendre en compte. Et la TVA qui est très liée à la consommation est quelque chose d’assez variable. On n’est pas là pour discuter du département ou de la région, sinon on n’en finit plus. On est là pour parler d’un projet politique que vous portez qui n’est pas le nôtre. Ce sont des choix politiques que chacun défend. Donc restons dans le cadre. Alors effectivement par rapport à ce que vous nous aviez présenté la dernière fois, on a noté, et vous les avez notées aussi, pas mal de différences surtout en termes de personnel. Je n’ai pas compris quel était le service qui allait être démutualisé, mais peut-être il y en aura d’autres. Donc vous anticipez là-dessus. Je ne sais pas si ça sera neutre parce que la mutualisation permettait aussi à ce que l’agglo paye une partie des salaires en contrepartie d’une partie du temps donné à l’agglo. Et donc la mutualisation ne s’est pas faite dans une idée de mutualiser pour la bienveillance et les bienfaits de l’agglo. Je pense que c’est aussi parce que les villes et la ville de Sète en particulier s’y retrouvaient. Vous avez parlé de la diminution de la contribution de l’État. Effectivement, on le voit par rapport au côté recettes de fonctionnement. Vous avez parlé aussi de l’épargne brute qui diminue encore. Elle était annoncée à 11,7M€, elle passe à 11,4M€ et toujours avec un financement par l’emprunt. La dette augmente aussi, car en 2024 son montant était de 80% et dans ce document, elle atteint 100 %. Traduction : la dette correspond à une année de fonctionnement !  Donc là, on atteint un seuil critique, car en 2 ans, vous avez fait beaucoup d’investissements avec les élections dans 3 mois. Ceux qui vont prendre la suite, n’auront pas beaucoup de marges, et seront confrontés à des difficultés. Par ailleurs, nous n’avons pas les mêmes choix d’investissement et c’est sur ces choix-là que nous ne sommes pas d’accord. Et pour y revenir, je vous conseille de venir en parler au département. J’ai invité il y a quelques années Monsieur Sabatier mais je vous invite également Monsieur Escarguel et nous en parlerons tranquillement.

vidéo de l’intervention

*Sur la réponse apportée par Mr Escarguel*  > Vous nous avez fait un joli inventaire à la Prévert, c’est-à-dire que vous utilisez cette assemblée pour faire votre campagne municipale. C’est de bonne guerre mais ce n’est pas très correct. Ceci dit, quand on gère une ville *interruption* Vous venez de faire un inventaire à la Prévert et moi ce que je voudrais dire au sétois, c’est que quels que soient les gens qui sont élus, quand on dépense en investissement 30 ou 40 M€, heureusement qu’il y a, à la fin d’un mandat, une liste à donner à la population, sinon ça serait catastrophique. Que vous soyez là, que j’y sois, que monsieur Denaja ou monsieur Pacull y soient, on aurait tous eu une liste à présenter. Il y a des choses bien dans ce que vous avez fait, il y a d’autres choses sur lesquelles on s’est battus. On n’aurait pas fait la place Aristide Briand, on n’aurait pas fait le parking. En tout cas, on aurait fait la place sans faire le parking. C’est après des choix politiques et sur des projets politiques qu’on discute ici. Donc vous faites la liste, c’est bien joli, ce n’est pas pour la campagne électorale, c’est juste pour informer les sétois. On est en fin de mandat. Ce n’est pas très compliqué quand vous cumulez entre 30 et 40 M€ à investir sur la ville, d’égrener mes investissements réalisés. Si vous n’aviez rien à dire, cela aurait été très inquiétant.  Vous en rajoutez un peu.

Vidéo de l’intervention

Création d’un collège de référents déontologues pour les élus locaux

Intervention de Véronique Calueba – vidéo en fin d’article

Juste un avis là-dessus parce que dans d’autres collectivités dans le département, effectivement, ça existe depuis un bon moment et que c’est important d’avoir cette référence-là. Le décret date quand même de décembre 2022. Donc je m’interroge : pourquoi on ne l’a pas fait avant ? Pourquoi on le fait juste avant les élections et comme l’a dit Françoise Escargel, ce sera le prochain exécutif qui en décidera des membres. C’est un peu dommage. Ça aurait pu peut-être éviter quelques dérapages ou dérives que nous avons vécus dernièrement.

vidéo de l’intervention

Création d’une crèche

Intervention de Laura Seguin -vidéo en fin d’article

Oui. Une demande de précision parce que la délibération s’intitule » création d’une crèche » et en fait après on s’aperçoit que c’est plutôt un transfert, un déplacement de la crèche du Quartier Haut dans les locaux de l’ancienne école Colbert. Est-ce que vous confirmez ça ? Mais est-ce que ça change quelque chose au niveau du nombre de places ? Est-ce qu’il y en a plus ? Est-ce qu’il y en a moins ? Est-ce qu’il y en a comme la crèche du quartier ?

vidéo de l’intervention

Rénovation globale de l’école Jean Macé –

Intervention de Véronique Calueba – vidéo en fin d’article

Pour répondre un peu à ce qu’a dit tout à l’heure Vincent Sabatier, moi je n’ai été qu’une simple professeure des écoles toute ma carrière et j’ose espérer que les élus, quels qu’ils soient, à tous les niveaux, représentent notre société. Je suis bien d’accord qu’il n’y a pas besoin d’avoir que des énarques et on sait que certaines classes sociales, les ouvriers, les employés sont très peu représentés et c’est peut-être la seule assemblée au sein de laquelle on peut avoir une vraie représentativité qu’on a plus au niveau de l’Assemblée Nationale et encore moins au niveau du Sénat. Concernant la rénovation de l’école Jean Macé, que je connais bien,  effectivement il y a énormément de besoins. Ce qui m’inquiète un peu, c’est que c’est une école de type « Pailleron »,  donc c’est un « truc » qui est bourré d’amiante. On parle d’une rénovation à + de 6M€, et je ne sais pas comment vous allez faire. Peut-être aurait -il été plus judicieux de la raser totalement et de la refaire parce que là il va falloir la vider. Je ne sais pas comment vous allez vous y prendre. D’autant qu’il me semble avoir vu qu’ 1M€ dans le budget pour l’année prochaine, donc je suppose que ça va être fait par tranche et que ces tranches-là, avec l’amiante, c’est hyper contrôlé. 1M€ pour l’année prochaine ne signifie pas que ça va être fait l’année prochaine. C’est peut-être les formes d’études ou autres. Et la deuxième question que j’avais, c’est l’espace qui va être partagé avec Les Pergolines dans vos projets. Donc la perte du terrain de sport ; est-il prévu la réhabilitation du terrain de tennis qui n’est pas loin ainsi que et le terrain de sport et de ne pas tout donner aux Pergolines ? Je ne me souviens plus du plan de masse présenté.

vidéo de l’intervention

Indemnisation des commerçants riverains du chantier Aristide Briand

Intervention de Laura Seguin – 2 vidéos en fin d’article

Je suis un peu étonnée qu’il n’y ait eu que quatre dossiers de demande d’indemnisation qui ont été déposés si je comprends bien. Est-ce que les autres commerces impactés par les travaux n’ont pas souhaité, n’ont pas été suffisamment informés à temps ? etc. Je m’interroge sur le pourquoi.

Monsieur Sabatier vous êtes d’un mépris incroyable envers l’association et envers tous les adhérents. Laissez-moi parler s’il vous plaît. Vous êtes le garant de la qualité du débat de ce conseil municipal Monsieur Marquez. Voilà. Évitons les manifestations d’humeur même si les réflexions vous déplaisent. Merci. Donc Monsieur Sabatier, vous êtes vraiment d’un mépris incroyable. Vous avez vraiment écouté les mots que vous avez utilisés pour parler des gens qui, effectivement, se mobilisent contre ce projet depuis maintenant 4 ans ?  Vous avez écouté vos propres mots que vous utilisez ? Oui. Vous êtes d’un mépris incroyable. Et une fois avoir dit ça, il y a 4000 adhérents à cette association. 4000 administrés de votre ville et vous les traitez de cette manière-là. Vous vous rendez compte ? Ceci étant dit, c’est votre majorité qui est responsable du retard dans ces travaux. C’est par votre impréparation totale sur ce dossier. C’est par vos manques d’études techniques préalables pour sonder ce que vous alliez trouver en creusant. C’est par toute cette impréparation, y compris pour respecter le cadre légal et c’est sur ça qu’ont porté les recours au tribunal administratif de l’association qui effectivement vous ont fait perdre du temps. Mais c’est de votre faute parce que quand vous avez commencé ce chantier, il n’y avait aucun permis de construire, aucun permis de déposes des arbres, du kiosque. Donc l’association vous a obligé à vous mettre en conformité avec la loi, avec le cadre légal. C’est ça qui vous a fait perdre du temps. Si vous aviez été dans les clous, dans les règles dès le début, on n’aurait pas perdu autant de temps. Si vous aviez fait les études techniques préalables nécessaires et complètes, notamment concernant l’eau souterraine que vous alliez trouver là-dessous, et bien vous n’auriez pas perdu autant de temps ensuite dans la construction. Donc la responsabilité, elle vous incombe. Si les commerçants ont été affectés sur la durée, c’est de votre faute. Ce n’est pas de la faute des citoyens qui se sont mobilisés. Et je ne souhaite pas laisser ce genre de propos sans réponse. C’est irresponsable. Vous êtes irresponsable

Vidéo 1

Vidéo 2

Mise au point sur la qualité des débats et son 2 poids, 2 mesures.

Intervention de Laurent Hercé – vidéo en fin d’article

Ça va être très rapide. Ça rejoint un petit peu ce que disait Madame Tartière. Moi, je vous fais remarquer que vous m’avez repris à l’entrée de ce conseil parce que je posais une question pertinente sur un point de budget, sous prétexte que j’étais hors sujet, en me coupant la parole, en me renvoyant à la fin du conseil. Or là vous venez de débattre pendant 45 minutes sur des sujets qui n’ont rien à voir avec la délibération. Et ça c’est de votre fait. Nombre d’entre vous attaquez Monsieur Denaja,  attaquez la région. Bon, c’est votre problème mais ça n’a rien à voir avec la délibération et vous ça ne vous dérange pas une seule seconde. Donc voilà, effectivement, ce n’est pas très respectueux de l’opposition, ce n’est pas très respectueux de l’ensemble des conseillers qui attendent tranquillement la fin des débats.

vidéo de l’intervention