Dans ce nouveau volet, il est mentionné une aide à la requalification de la place (hors parking). Dans le projet action cœur de ville en 2018, il était indiqué que le parking Aristide Briand fait partie de ce programme… A la question posées, les réponses différentes ont fusé. François Commeinhes (« l’action cœur de ville n’intervient pas sur la création du parking« ) et de Vincent Sabatier (« le parking est le projet de l’action cœur de ville« )… Alors quelle est la vraie réponse ?
Nous ne sommes pas d’accord avec la SPLBT, dans sa frénésie de construction de parkings, avec financements publics de surcroit. Ces parkings ont une fréquentation qui laisse pantois au regard des montants engagés… Voici quelques chiffres de fréquentation en période de haute fréquentation (la St Louis). Force est de constater que nous n’avons pas besoin de nouveaux parkings, et encore moins celui de la place Aristide Briand.
Dans le rapport, mention de « déferlement de procédures » (signé par des élus) de la part du collectif Bancs Publics qui a empêché le déroulement du chantier. Les recours sont possibles, devant tant d’impréparations, de problèmes de pièces règlementaires (permis, notamment…). Ces manquements de procédure (2021 à 2023) sont du fait du maitre d’œuvre et d’ouvrage, pas du collectif. Enfin, la société en charge des travaux menace d’arrêter les travaux si vous ne payez pas un supplément exorbitant dû à l’amateurisme dont vous faites preuve.
Intervention de Véronique Calueba et suivre l’échange avec le président Commeinhes, Vincent Sabatier.
Avec une avance de 4 M€ de fonds publics, le rapport se targue « d’une bonne santé financière» avec l’argent du contribuables.Ces avances financières sont fréquentes, et celle de mars 2021, 1.08M€ est passée en augmentation de capital. Ce qui signifie que les sétois ne verront jamais la couleur du remboursement ! De plus, un rapport SAELIT en copié/collé qui parle en page 44 de corruption répond « les comptes de la SPLBT sont vérifiés par un commissaire aux comptes ». Donc pour connaitre les comptes de la SPLBT, il faudra lire le rapport de la SAELit.
Intervention de Philippe Carabasse à suivre ci-dessous.
Nous sommes contre les projets politiques portés par ce satellite dans l’aménagement de notre territoire, mais les questions sont nombreuses sur son fonctionnement et le pouvoir qu’il a. L’augmentation du capital se fait avec l’entrée au capital de GGL, qui est une société privée dans la politique d’aménagement local.
Intervention de Véronique Calueba avec la non réponse du président qui fait un hors sujet teinté de morgue. A suivre ci-dessous
Proposition d’intégrer à cette commission l’association Droit Au Logement, qui œuvre auprès des personnes dont le souhait de se loger se heurte à de vraies difficultés, connues et détaillées par ailleurs. Cette association a pour but la défense du droit au logement des personnes vulnérables. Son expertise locale est intelligente et pertinente dans un projet tel que celui-ci.
La validation de ce diagnostic s’est faite, en gros, avec quelques entretiens individuels, une enquête en ligne (67 participants) et l’apport des services concernés. Cela reste un document d’experts, qui sent l’entre soi et qui a oublié le principaux concernés : les habitants du territoire qui pâtissent de la situation et subissent des choix politiques dépassés. Ces conclusions sont l’expression d’une modification de l’espace public à destination des touristes essentiellement, au détriment des habitants à l’année.
Intervention de Philippe Carabasse à suivre ci-dessous
Pression touristique, tension démographique, augmentation des constructions qui impactent les ressources en eau en baisse et les problématiques d’assainissement en surtension. Le constat est étrange (alertes) alors que la politique locale est d’accueillir toujours plus de touristes, au détriment des locaux qui peinent à se loger…
Intervention de Laura Seguin à visionner ci-dessous.
Intervention en préambule de Laura Seguin à visionner ci-dessous.
L’inversac est un phénomène hydrologique dont la fréquence et l’intensité augmentent avec le changement climatique. On s’oriente actuellement vers une solution technique, un clapet anti-retour visant éviter l’intrusion d’eau salée dans les eaux souterraines. Ce type de solution permet de gérer le problème à court terme, mais à plus long terme ? Nous avons besoin d’engager une réflexion et une étude prospective sur l’impact du changement climatique sur nos ressources en eau et sur les différents usages, pour identifier nos vulnérabilités actuelles et futures, et imaginer d’autres actions à mettre en place pour véritablement anticiper, et adapter notre territoire.