M. Commeinhes, élus et habitants exigent le respect !

Tribune du magazine Notre agglopôle – février 2025

Au début du mois de janvier, François Commeinhes, Président de Sète Agglopôle Méditerranée a, sans l’accord des maires de l’agglomération, utilisé leurs signatures pour envoyer un courrier au Premier Ministre, Mr Bayrou au sujet du financement de la future Ligne à Grande Vitesse Montpellier-Perpignan. Ce n’est pas un acte anodin. C’est un acte grave au sujet duquel l’un des maires a d’ailleurs dénoncé par voie de presse une « usurpation de signature » et « des méthodes d’un autre temps ». Une communauté d’agglomération, c’est un regroupement de communes dont chacune doit, quelle que soit sa taille, être respectée. Un ou une maire représente la population de sa commune. Utiliser sa signature sans son consentement, quelle que soit la nature de l’acte, c’est parler à la place du seul représentant habilité légitimement à s’exprimer au nom de cette population. C’est un acte politiquement et juridiquement condamnable. Alors que le Président de l’agglomération est d’ailleurs mis en cause, ès qualité, devant la Justice de notre pays, dans une affaire dans laquelle il a lui-même argué d’une usurpation de signature, on peut s’étonner qu’il ait pu, avec autant de légèreté, négliger la gravité de son acte. En tout état de cause, ce courrier doit être retiré et le Président de l’agglomération doit présenter ses excuses publiquement.

Nos concitoyens attendent eux aussi des excuses pour les mots prononcés récemment par le Président de l’agglomération au sujet des habitants qui s’opposent à la construction du parking de la place Aristide Briand à Sète. Après avoir exprimé publiquement qu’il fallait les « exterminer », François Commeinhes se « demande si on peut appeler ça des sétois », ainsi que l’a relayé la presse. Là encore, ces mots ne sont pas anodins. Et ils sont d’autant plus graves qu’ils sont prononcés par un responsable public de premier plan. La gouvernance d’une agglomération et le débat public exigent du Respect !

Freiner les spéculateurs en logeant les habitants.

Tribune du Sète.fr – mars 2025

Notre ville ploie sous le poids du béton. Pour quel usage ? Au profit de qui ?
21% des logements sétois sont utilisés pour des résidences secondaires, dont un nombre important de meublés de tourisme loués sur les plateformes type “Airbnb”. Cette spéculation permanente à un coût : des prix de location ou d’achat inaccessibles pour les habitants résidents, pour nos jeunes, nos familles, qui parfois quittent leur ville à contrecœur. Un coût aussi pour la ville : des classes ferment, des commerces n’ouvrent que pour la saison d’été. La ville vieillit et s’asphyxie lentement.
Pourtant, des logements continuent à se construire, et sont livrés par centaines à la spéculation, notamment à l’Entrée Est de la ville. Désormais, un outil existe, puissant, efficace : la nouvelle loi du 19 novembre 2024.
Les villes en situation tendue, comme Sète, peuvent modifier leur PLU, et réserver des quartiers entiers à la construction de résidences principales, pour assurer des centaines de logements pour les sétois. En conseil municipal, la majorité a voté contre notre motion visant à se saisir de ce nouvel outil qui aurait pourtant bénéficié aux Sétois à la recherche d’un logement. Laissant toute liberté aux investisseurs, aux spéculateurs, pour épuiser lentement la réserve de logements neufs. Le moment venu, si cette loi est enfin appliquée chez nous, restera-t-il encore quelque chose à défendre ?

La sécurité, affaire des polices nationale, municipale et des concitoyens concernés.

Tribune Sète.fr – février 2025

Depuis  PLACE NETTE , ces 2 polices ont permis de démanteler les points de deal sur l’Ile de Thau et leur présence régulière avec l’appui du collectif d’habitants, ramènent du calme sur le quartier. On peut s’en féliciter. Pourtant Thau Habitat décide d’engager une milice privée de sécurité qui patrouillera 1 fois/ semaine sur le site pour la somme de 450 000€! C’est très cher payé en engraissant des sociétés privées. On aurait préféré recruter des policiers ou installer un commissariat de proximité. Mais la ville va subventionner cette milice à hauteur de 200 000€. Pour trouver les fonds, la ville a supprimé l’abattement de la taxe foncière d’Hérault Logement, le bailleur social du Département (185 000€ / an), qu’il ne versait pas à la ville mais utilisait pour aménager les espaces verts, financer des postes de médiateurs et des actions au profit des habitants et des logements. C’est fini, l’action sociale et le bien être des locataires. Les habitants de l’île de Thau logés au Département seront donc privés par la ville d’actions solidaires et de mieux vivre au profit des habitants des logements de la Ville. C’est de la discrimination! Une honte et une vaste opération de communication. Car le maire nous dira que c’est grâce à sa milice privée que la sécurité a été rétablie. Ne soyons pas dupes, ce sera le résultat du travail de nos polices, de l’investissement des habitants et des associations présentes.

Face au chaos politique, bâtir une réponse aux besoins essentiels de la population.

Tribune du magazine « Notre agglopôle » – décembre 2024/janvier 2025

Nous élus de gauche et écologistes, refusons de rester spectateurs de la situation politique inédite et alarmante de notre pays. Depuis la dissolution de l’Assemblée Nationale jusqu’à la censure du gouvernement et sa démission, la France s’enfonce dans une crise démocratique et institutionnelle sans précédent. E.Macron est responsable de ce désastre, en refusant de reconnaître le verdict législatif qui a placé en tête le NFP. Ces bouleversements nationaux ont des répercussions dramatiques sur nos territoires. Nos collectivités locales, subissant des années de coupes budgétaires et de désengagement de l’État, se retrouvent encore en 1ère ligne pour répondre aux besoins des citoyens. Et elles sont prises en étau : dotations globales de fonctionnement toujours plus maigres, injonctions contradictoires à faire «plus» avec «moins».

Le quotidien de nos concitoyens en souffre directement, notamment avec des services publics de proximité asphyxiés. Ajoutons des choix locaux d’investissement de la majorité Commeinhes, déconnectés des besoins réels avec des infrastructures tape-à-l’œil : parkings souterrains pour touristes, statues aux entrées de ville. Nous avons besoin de rénovation énergétique des logements, de logements sociaux, de transports publics accessibles et gratuits, de renforcement des services publics, de soutien aux petites entreprises locales. Nous avons aussi besoin d’adapter nos villes aux futures crises climatiques et d’investir dans la transition écologique.

Nous croyons fermement que le sursaut collectif viendra des élus de proximité, des citoyens, des syndicats et associations, car ils sont les mieux placés pour connaître les véritables besoins pour notre territoire.

En 2025, notre mission sera plus que jamais de bâtir un avenir solidaire, écologique et résilient, malgré les vents contraires. Nous le ferons avec détermination et responsabilité. Nous vous souhaitons une année 2025 sereine et apaisée, en espérant que cet avenir soit bientôt une réalité partagée.

Communiqué suite aux échanges en conseil municipal sur le manque d’hébergement d’urgence pour les personnes sans abris

Laura Seguin – Conseillère Municipale et communautaire

Interpellée sur le manque d’hébergement d’urgence pour les sans-abris et la nécessité d’ouvrir une salle alors que le froid s’installe, Mme Gizardin, adjointe à l’action sociale, reconnait elle-même qu’elle fait la même réponse depuis 10 ans : tous les dispositifs d’accueil existent à Sète via les places d’hébergement d’urgence du SUS (Solidarité urgence sétoise), qui compterait selon elle « 3 à 6 places » complémentaires qui « n’ont absolument pas eu à être ouvertes cette année ni l’année dernière ». Le dispositif ne serait donc « pas complet » selon ses propos, et c’est la raison pour laquelle la ville de Sète ne prend pas la décision d’ouvrir la salle Marques située à côté du SUS, pourtant prête, équipée de 10 lits, de douches et sanitaires, pour accueillir les personnes sans-abris alors que le froid s’installe…

Ce n’est pas du tout le constat dressé par un collectif de 8 associations de Sète et du bassin de Thau défendant le droit au logement et œuvrant contre l’exclusion et la précarité, qui connaît très bien ces problématiques puisque ses membres sont au contact quotidien des personnes sans-abris, via les maraudes notamment. Ils parlent bien de saturation des structures d’accueil, 80% à 90% des demandes d’hébergement d’urgence ne trouvant pas de réponses. C’est même écrit dans l’État des lieux des acteurs de la veille sociale du Bassin de Thau (décembre 2024) rédigé par le SIAO34 (Service intégré de l’accueil et de l’orientation de l’Hérault) :

  • 400 appels/j en moyenne au 115
  • bilan depuis le début de l’année 2024 : 468 personnes différentes ont appelé le 115, 61 personnes différentes ont été hébergées – ça fait donc 87% de personnes qui n’obtiennent pas de réponse positive à leur demande d’hébergement.

Comment expliquer qu’on réponde au mieux à 20% des demandes d’hébergement d’urgence, mais qu’on considère que le dispositif n’est pourtant « pas complet » ? Nous n’avons pas eu de réponse…

On a les moyens de mettre quelques personnes de plus à l’abri, il faut le faire ! Il faut ouvrir cette salle, mettre davantage d’agents à disposition pour les besoins d’accompagnement médico-social, davantage de budget pour les repas, les vêtements d’urgence…. Mme Gizardin dit ne pas le faire par « sens aigu de l’argent public ». Manifestement ce sens aigu c’est celui qui justifie des dépenses faramineuses pour un parking qui prend l’eau et qui ne sera utile qu’aux plus fortunés et aux touristes, mais qui refuse un centime de plus pour la solidarité envers les plus vulnérables !

Se garer pour prendre le train, un luxe pour les habitant.es de l’agglo ?

Tribune Novembre/décembre 2024 – Magazine Notre agglopôle


Lors du conseil d’agglo du 26 septembre 2024, les tarifs des futurs parkings du Pôle d’Échange Multimodal de la gare de Sète ont été votés. Sur la partie nord, le parking est destiné prioritairement aux usagers ferroviaires du quotidien avec la création d’un abonnement spécifique pour les abonnés du TER. Bonne initiative pour les habitant.
es des communes de l’agglo, notamment ceux travaillant dans les villes
desservies par le TER.
Mais nous avons découvert avec stupeur le prix de cet abonnement :
40 € mensuels, soit 480 € par an ! L’abonnement TER Sète/Montpellier coûte déjà 60 € minimum, auxquels s’ajouteraient 40€ de stationnement ?! Pas de quoi encourager massivement à laisser sa voiture et prendre les transports en commun… C’est totalement contradictoire avec une vraie politique d’accompagnement aux mobilités douces,
et la nécessité d’agir pour réduire notre empreinte carbone face à l’urgence climatique. Le maire de Frontignan, lui, a assuré du maintien de la gratuité des parkings de la gare sur sa commune, même après la mise en route de la nouvelle gare, dans l’objectif d’inciter à
prendre le train.
Le Président de l’agglo justifie ce prix prohibitif par le coût de la location du terrain à la SNCF, qui en est propriétaire. Mais nos impôts, qui ont bien augmenté, ne suffisent donc pas ? Ils devraient justement pouvoir financer ce type de service à la population, pour accompagner la transition écologique !

Régie publique de la restauration collective à Sète

Tribune de décembre 2024

Depuis 2008, ce service est confié à une entreprise privée, Sodexo, qui fournit chaque jour les repas aux crèches, écoles, usagers du CCAS et seniors bénéficiant du portage de repas à domicile. Ce contrat arrive à échéance dans 1 an.

Une gestion publique de la restauration collective garantirait une alimentation saine, respectueuse de l’environnement et issue de l’agriculture et de la pêche locale. Malgré les efforts de sensibilisation, une entreprise privée comme Sodexo reste soumise à des impératifs de rentabilité qui limitent ses engagements en matière d’approvisionnement local et de qualité. Ces objectifs économiques s’opposent aux valeurs de service public.

En passant directement les marchés avec les fournisseurs locaux, une ville devient motrice d’un développement agricole local, durable et rémunérateur pour les agriculteurs et les pêcheurs. Ce modèle renforcerait la souveraineté alimentaire de notre ville mais aussi l’économie locale, en soutenant des emplois durables.

De nombreuses villes comme Paris, Bordeaux, Toulouse, Besançon, Montreuil, et bientôt Marseille ont également fait ce choix. C’est donc tout à fait possible pour Sète !

Nous avons 1 an devant nous pour anticiper la fin du contrat avec Sodexo et aller vers une régie publique. Nous invitons les citoyens, les parents d’élèves, les usagers du CCAS, les agriculteurs et pêcheurs, les associations environnementales, les élus de Sète et de l’agglo, à se saisir de cette question.

Communiqué de presse – Pour une alimentation saine et durable : vers un retour en régie publique de la restauration collective à Sète

Lors du conseil municipal du 30 septembre, Laura Seguin a proposé de reprendre en régie publique la restauration collective de notre ville. Depuis 2008, ce service est confié à une entreprise privée, Sodexo, qui fournit chaque jour les repas aux crèches, écoles, usagers du CCAS et seniors bénéficiant du portage de repas à domicile. Ce contrat arrive à échéance dans un an, mobilisons-nous pour reprendre le contrôle de ce service essentiel !

Pourquoi la régie publique est le meilleur choix pour Sète ?

La qualité alimentaire, le respect de l’environnement et le soutien à l’économie locale sont au cœur des attentes citoyennes. Une gestion publique de la restauration collective garantirait une alimentation saine, respectueuse de l’environnement et issue de l’agriculture et de la pêche locale. Malgré les efforts de sensibilisation, une entreprise privée comme Sodexo reste soumise à des impératifs de rentabilité qui limitent ses engagements en matière d’approvisionnement local et de qualité. Ces objectifs économiques s’opposent aux valeurs de service public qui doivent guider l’alimentation de nos enfants et de nos aînés.

Un outil pour le développement économique du territoire

Une régie publique de restauration collective va bien au-delà d’un simple choix de gestion. En passant directement les marchés avec les fournisseurs de produits locaux, bio, une ville devient motrice d’un développement agricole local, durable et rémunérateur pour les agriculteurs et les pêcheurs. Elle peut aussi développer des unités locales de transformation alimentaire comme les conserveries. Ce modèle renforcerait la souveraineté alimentaire de notre ville mais aussi l’économie locale, en soutenant des emplois durables.

C’est le choix de nombreuses collectivités

Le Département de l’Hérault assure la restauration en régie pour les collèges, avec 22 000 repas par jour composés de produits bio, de légumes et de fruits frais, de saison, cultivés dans l’Hérault. De nombreuses villes comme Paris, Bordeaux, Toulouse, Besançon, Montreuil, et bientôt Marseille… ont également fait ce choix. Contrairement aux positions tenus en conseil municipal par la majorité, c’est tout à fait possible pour une ville de la taille de Sète !

Agir dès maintenant pour l’avenir de Sète

Le renouvellement du contrat de restauration collective est une décision cruciale, nous avons une année devant nous pour anticiper la fin du contrat avec Sodexo et amorcer une transition vers une régie publique, en phase avec les valeurs et les intérêts des Sétois et Sétoises. Nous invitons les citoyens, les parents d’élèves, les usagers du CCAS, les agriculteurs et pêcheurs, les associations environnementales, les élus de Sète et de l’agglo, à se saisir de cette question, à en faire un vrai débat public qui permette de déterminer les futures décisions.

Laura Seguin, Véronique Calueba et Arnaud Jean, groupe Ensemble pour Sète

Parking Aristide Briand – un chantier ubuesque et un total manque de transparence

Intervention de Laura Seguin – Rapport 2023 sur la délégation stationnement confiée à la SPLBT

Concernant les parkings des Halles et du Canal :

  • Un problème de chiffre concernant le nombre de demandes enregistrées pour l’accès au parking du Canal : dans le rapport il est écrit que 30 demandes n’ont pas pu être satisfaites, hors quand on regarde le Rapport d’activités du conseil d’administration Exercice 2023, page 11 on trouve un autre chiffre de 60 demandes sur liste d’attente (Assemblée générale du 24 juin 2024)
  • Quand des personnes demandent des places à l’année, on les renvoie vers une solution d’abonnement de septembre à avril-mai seulement, mais pas les mois d’été pendant lesquels on est renvoyé vers le parking Victor Hugo, ce qui n’est pas une solution satisfaisante pour les habitants du centre ville. C’est l’inverse qu’il faudrait faire ! Permettre aux résidents à l’année d’avoir un abonnement à l’année dans le centre ville. Donc augmenter les quotas voir arrêter ces quotas, et diminuer le quota pour les places à la journée ou à l’heure, qui sont plutôt destinées aux touristes, aux visiteurs, et inciter les touristes à se garer à l’extérieur du centre ville, bien relié au centre ville par des transports en commun. Cela serait un levier pour limiter la circulation dans le centre ville à une période de l’année très chargée où les embouteillages sont trop fréquents.

Concernant le chantier du parking Aristide Briand – un chantier ubuesque et un total manque de transparence :

  • Dans un article de juin 2023, le directeur de la SPLBT annonçait la fin du radier à la fin du mois de juin. Ce n’est pas du tout ce qui s’est passé, tout a été arrêté, on est au même niveau qu’en mai ou avril, on a fait des carottages, on a exploré en avril-mai comment était le sous sol de la place alors qu’on devait le faire avant, au tout début.
  • Dans une conférence de presse récente, le maire dit que les constructeurs ont demandé des études complémentaires car les notre ne convenaient pas, les études étaient incomplètes on le dit depuis le début ! On se demande vraiment comment les entreprises qui interviennent vivent votre complète impréparation sur le plan technique…
  • Il y a eu un déversement de béton jeudi, pour quoi faire ? quel est l’objectif ? ils espèrent quoi ? béton au fond de l’eau, quel intérêt ? Est-ce que c’est le fond du parking ? Est-ce que vous envisagez d’arrêter à un seul niveau plutôt que les 2 initialement prévus ?
  • La sortie du parking ? Elle est où ? c’est quoi ? La situation est complètement ubuesque : on termine un parking et après on cherche une solution pour la sortie ! Un chantier en 2 grandes tranches comme ça, c’est logique ? On a du mal à croire qu’une société va accepter de reprendre un chantier fait par un autre…
  • Et enfin, il y a un grave problème de transparence et de démocratie : depuis le mois de juin, une quarantaine de citoyens se sont adressés au service urbanisme afin de consulter un permis de construire concernant ce chantier, ils n’ont jamais pu le consulter contrairement à ce que prévoit la loi. Il leur a été répondu par courrier que leur demande a bien été enregistré, que le service urbanisme avait un mois pour leur répondre et que passé ce délai, ils pouvaient s’adresser à la CADA (Commission d’accès aux documents administratifs). Traduction : on sait qu’on n’est pas dans les règles en ne le mettant pas à disposition, adressez-vous à une autorité supérieure qui, dans 6 mois, nous obligera à transmettre le document ! Ce sont vraiment des méthodes aberrantes, qui confirment votre volonté de manque de transparence sur ce dossier, depuis le début !