Accueil de Loisirs – Périscolaire, de restauration scolaire et de Loisirs Sans Hébergement – Adoption d’un règlement

Intervention de Laura Seguin – vidéo 1 de l’intervention/ vidéo 2 de l’intervention – 1ère intervention sur le sujet

Toujours au sujet des écoles, puisque c’est un sujet qui m’intéresse beaucoup. Je voudrais revenir à juin 2025, où la cantine à 1€ a été votée. Mme Azaïs avait assuré qu’en prévision d’une hausse de fréquentation, des recrutements seraient faits durant l’été. Nous avons misé sur la confiance et l’avons crue. Or, la réalité semble toute autre : fin juin, un courrier a été envoyé à tous les enseignants des écoles de Sète, leur demandant s’ils acceptaient de renforcer « l’encadrement du temps des repas rémunérés selon le tarif en vigueur », la 1ère adresse est faite aux enseignants. Ensuite, peu d’accords ayant été obtenus, on observe durant l’été des annonces de recrutement d’animateurs ALP (périscolaires) en contrat vacataire, pour 2 heures par jour, seulement. Ce recrutement a semble-t’il donné peu de résultats, sans surprise, car ce type de contrat assez précaire n’est pas vraiment attractif. Et on apprend qu’une autre solution envisagée est de demander à des agents administratifs de venir encadrer ces temps de repas avec une rémunération en heures supplémentaires. Je souhaiterais des éclairages sur la précarité des contrats proposés au regard de l’importance du bien-être et de l’accueil adapté des enfants. Sur l’injustice entre agents : les administratifs payés en heures supplémentaires et des animateurs.trices qui doivent récupérer ces heures, mais qu’ils ne peuvent pas poser car leur planning est saturé. Dernier point, ces animateurs.trices nous ont fait part de leur sentiment de dévalorisation de leur fonction, car « n’importe qui », sans formation et sans projet pédagogique, peut faire leur travail. Les ALP ne font pas que surveiller les enfants : ils développent un projet éducatif, un accompagnement et un suivi pédagogique. Donc, ce que je viens d’énoncer, pour moi, s’est déroulé ainsi avec les remontées qui m’ont été faites, mais peut-être pouvez-vous me dire ce que vous avez mis en place depuis juin afin d’assurer un accueil de qualité pour les enfants ?

Class’à Manitas Convention de partenariat à passer avec Sète Agglopôle méditerranée et la direction académique des services de l’Éducation Nationale

Intervention de Laura Seguin – Vidéo de l’intervention

J’ai cru comprendre que ce dispositif bénéficiait à une seule classe, pouvez-vous me préciser les critères d’attribution ? Par ailleurs, j’ai eu des retours d’enseignants, qui ont été sélectionnés par la mairie pour des projets, par exemple « Oh mon bateau », et qui ne bénéficiaient qu’à 3 classes. Or, ce qui n’avait pas été précisé en amont c’est que les participants à ce dispositif se déplaçaient en bus et ces déplacements étaient défalqués du quota transport annuel par école. Ce qui a contraint les enseignants à revoir leurs projets éducatifs car ils ont dû renoncer à d’autres sorties scolaires. Pouvez-vous me préciser ces 2 éléments ?

Mise en place d’une plateforme d’Accompagnement à la  Persévérance Scolaire ( PAPS) – Convention à passer avec le Centre Communal d’action sociale (CCAS), les collèges Jean Moulin, Victor Hugo, Paul Valéry et Saint Joseph

Intervention de Laura Seguin – Vidéo de l’intervention

Il est question de référents dispositifs dans ce document, et je voulais savoir si des ressources humaines supplémentaires sont prévues ou s’agit-il des personnels déjà en poste, submergés et à qui on va demander heures supplémentaires. Puis sont mentionnés les « locaux de la mairie » dont l’occupation ne donne ni titre ni droit. Alors pouvez-vous préciser les moyens humains ou matériel destinés à ce dispositif.

Demande de transmission de documents relatifs à la SPLBT

Courrier de Véronique Calueba au Président de Sète agglopôle Méditerranée, au Directeur Général de la SPLBT et du commissariat aux compte.

En date du 16 septembre ce courrier a été transmis, car, sur les sites dédiés aux sociétés, la mise à jour de la SPLBT n’avait toujours pas été effectuée, malgré la démission de son Président, le 30 avril 2025. Lors du conseil communautaire du 25 septembre, il a été confirmé qu’une demande avait été faite au maire de Sète pour avoir communication de ces documents. Une réponse sera apportée.

Il a été en outre constaté une mise en ligne de documents comptables (comptes sociaux), dont les chiffres, par ailleurs, ont été repris en séance de conseil municipal du 29 juin 2025.

Au sujet du départ de Sète par des actifs et des familles

Intervention de Sébastien Andral – Vidéo de l’intervention

Pour rebondir à ce qui vient d’être dit, c’est vrai qu’il n’ya pas de travail à Sète et que des écoles ferment, même si j’en vois qui se réjouissent (une personne). savez-vous où les écoles ouvrent ? De l’autre côté du Bassin de Thau : Villeveyrac, Poussan…Sur la question du travail à Sète, les 2 plus grandes entreprises de Sète sont la mairie et l’hôpital. J’aurais aimé des industries un peu plus « costauds ». L’hôpital compte 1500 salariés donc 1500 familles, et la mairie en compte 1000, soit 1000 familles, parfois il y a 100 contractuels qui arrivent, mais ça ne dure pas…Sur ces 2500 familles, le mot est important car il implique 2,3 ou 4 personnes par famille, nombreux n’habitent pas à Sète. Non par choix, mais par contrainte, car avec un salaire de fonctionnaire, 2 salaires de 2000 €, on ne peut plus vivre à Sète. Et les 2500 € d’aide à l’accession à la propriété permettra juste de payer la taxe foncière.

Délégation de Service Public pour exploitation du stationnement -Nouvelle tarification pour les résidents et évolution de L’offre de stationnement – Avenant n°5 à la convention passée avec la Société Publique Locale du Bassin de Thau (SPLBT)

Intervention de Sébastien Denaja – vidéo de l’intervention/ 4ème intervention sur le sujet

Cette délibération est une provocation car ça fait 6 ans que la question du stationnement et du parking Aristide Briand hystérise le débat public. et là, alors que votre mandat crépusculaire s’achève et que vous êtes en position d’exécuteur testamentaire, vous rajoutez un parking à 3M€. On avait déjà un parking à 7 M€ qui va en couter 15, et en étant sur le même périmètre, d’à peine 1 km2, on est à 18 M€. Ça équivaut à 3 écoles primaires, ce qui est lourd de sens et de conséquences. Elle dit une chose : c’est que François Commeinhes et Hervé Marquès, c’est blanc bonnet et bonnet blanc, on pourrait même les appeler Hervé Commeinhes et François Marquès. Hervé Marquès, l’exécuteur testamentaire de son prédécesseur, qui, rappelons-le, a été condamné par la plus haute juridiction française pour détournement de fonds publics. * intervention de Mme Authié et Mr Caselli*. Je suis libre de mes paroles et je les assume totalement et je réponds à personne ni aux interpellations diverses et variées. Et très improvisées. Je reviens au débat et cette délibération est lourde de conséquences car elle engage les finances publiques à hauteur de 3 M€ et elle souligne la fragilité financière de la SPLBT, qui va finir par gréver les finances publiques et oblige, qu’un jour, les sétois mettent la main à la poche. Cette délibération est inappropriée car elle souligne l’absence de vision économique, la pauvreté de réflexion en terme d’aménagement du territoire, de mobilité et de stationnement.

Acquisition de fonds de commerce Garage Renault – Immeuble sis 28 quai Maréchal de Lattre de Tassigny à Sète

Intervention de Laura Seguin – Vidéo de l’intervention/ 3ème intervention sur le sujet

Le projet de parking à l’emplacement du Garage Renault , sur le quai du Maréchal de Lattre de Tassigny, vient de sortir du chapeau. C’est à dire que dans les avenants précédents , 2018, 2018 et 2023, il n’est jamais question d’un parking à cet endroit-là. dans le document présenté, aucune mention n’est faite sur une étude qui justifierait un parking supplémentaire en centre-ville. Il est à noter également, qu’aucun débat préalable n’a eu lieu sur sa pertinence et sa nécessité. Je ne comprends pas cet avenant, qui pourtant, engage la SPLBT à hauteur de 3 M€, financés par des prêts, garantis à 50% par la collectivité, comme si la décision est déjà prise., sans avoir été soumise au vote. Ça pose un vrai problème démocratique. Ce projet est donc porté par la SPLBT, qui est déjà surendettée : au 31 décembre 2024, 48 M€ de dettes affichés, dont 25M€ à rembourser à échéance d’1 an, 10 M€ à plus d’1 an et 13 M€ à échéance de 5 ans. Elle présente un ration d’endettement à 171 %. Ce taux est énorme pour une société publique locale et cela signifie que la SPLBT vit sous perfusion d’emprunts garantis par la collectivité avec le risque que cela rejaillisse sur nos finances communales et donc sur les contribuables sétois.

Délégation de Service Public pour exploitation du stationnement -Nouvelle tarification pour les résidents et évolution de L’offre de stationnement – Avenant n°5 à la convention passée avec la Société Publique Locale du Bassin de Thau (SPLBT)

Intervention de Laurent Hercé – vidéo de l’intervention/ 2ème intervention sur le sujet

On a tendance à oublier ici, c’est que la meilleure voiture du monde c’est celle utilisée car on en a impérativement besoin. Or, là, on prend sa voiture car on sait pas où la garer pas trop cher, et donc, on est forcés à utiliser sa voiture pour éviter cette situation aberrante. Pourquoi, puisque vous avez construit des parkings partout, n’en réservez-vous pas aux sétois et non aux gens de l’extérieur ? Et les visiteurs, les faire stationner à l’exterieur de la ville (parkings relais payants), pour 10 € par jour, et favoriser le parking gratuit ou quasi gratuit en centre-ville pour les sétois. Vous n’avez pas de logique dans cette politique des parkings, c’est pour vous une « cash box » (boîte à cash), pour retirer de l’argent aux sétois, et ne leur est pas profitable.

Délégation de Service Public pour exploitation du stationnement -Nouvelle tarification pour les résidents et évolution de L’offre de stationnement – Avenant n°5 à la convention passée avec la Société Publique Locale du Bassin de Thau (SPLBT)

Intervention de Véronique Calueba – Vidéo de l’intervention / 1ère intervention sur le sujet

On apprend dans cette délibération, qu’il encore y avoir un parking en centre-ville. Dans les grands projets d’urbanisation de l’Entrée Est vont détruire les parkings relais gratuits (Mas Coulet, Skalli). Vous nous parlez d’un parking gratuit, devant le Conservatoire, qui va servir, à terme au Casino ou aux services , mais ce n’est pas un parking relais pour les sétois. En revanche, la concentration des parkings en centre-ville est énorme. on rend le stationnement payant obligatoire, quasiment partout. Voici donc l’objectif final de la VILLE APAISÉE. Même avec une tarification minorée, ça interroge. Petit rappel : vous avez ouvert le parking Victor Hugo, en plus de celui des Halles et du Canal, et en attendant décembre 2025 pour le parking Aristide Briand. Quand on regarde les panneaux d’affichage des disponibilités dans les parkings, Les Halles et Le Canal s’affichent à moitié vides (sauf mercredis, jour de marché), malgré les 200 demandes d’abonnement en attente, vous privilégiez les tarifs à l’heure pour les stationnements. Ouvrez les abonnements annuels pour les sétois, vous n’aurez plus ces 200 demandes en attente, qui relèvent de l’argutie pour l’ouverture d’un nouveau parking, sur un quai, ce qui est loin de l’objectif affiché qui est de dire que cela désengorgera les quais. De plus, vous fermez un garage (le 3ème), et on note que rien n’est fait pour les artisans. Sans compter les 3M€ d’emprunt pour le financer, enfin, pas sûr, car comme le parking Briand et comme l’a affirmé votre adjoint, « c’est à la fin des travaux qu’on connait le montant ».

Logement – Accession à la propriété à prix maitrisé – Aide communale aux primo-accédants – Modification règlement attribution

Intervention de Sébastien Denaja – Vidéo de l’intervention/ 4ème intervention sur le sujet

Comme vous, Monsieur Marquès, je pense que le parcours résidentiel est important. Comme vous, je viens d’un HLM. Et je suis fier d’avoir réussi mes études en étant boursier, mais surtout, qu’à l’époque, on ait pas demandé en échange, à ma maman, une procuration.