Rapport développement durable – la réalité ne correspond pas à l’affichage communicationnel. – Réponse du Président de l’agglo qui laisse pantois, au bas mot « vous ne m’exciterez pas, je ne m’excite pas ». Circulez y’a rien à voir et encore moins à dire !

Ces belles intentions affichées ne correspondent pas à la réalité, notamment à Sète, avec 3 parkings créés et financés par l’argent du contribuable, et quand on reparle de la SPLBT, société satellite. Les pactes signés en assemblées ne correspondent ni à l’époque ni à un signe de bonne gouvernance, en terme d’incitation à la mobilité douce, la gratuité des transports en commun, à des parkings relais, des logements non rénovés… « …

Intervention de Véronique Calueba

Après le Covid et la guerre en Ukraine, un coup de bambou local, avec une augmentation délirante des taxes sur tout le territoire

Débat d’Orientation Budgétaire – augmentation de la fiscalité, indécente, au regard des difficultés éprouvées par les administrés, en terme de logement, de travail, d’accès aux services…ce budget ne correspond pas aux attentes du territoire ni aux besoins vitaux de nos concitoyens

Intervention de Véronique Calueba

Les conchyliculteurs débarquent sur terre

A propos de la situation des conchyliculteurs – réponse à Yves Michel sur une réunion d’aide ponctuelle (déclaration préliminaire) – , alors que depuis de nombreuses années on nous présente d’ambitieux plans d’investissements pour notre étang, les problèmes subsistent et sont de plus en plus graves.

Intervention de Véronique Calueba

Augmentation du taux de la fiscalité directe locale pour l’ensemble des communes du Bassin de Thau

Communication de Philippe Carabasse.

Jeudi 16 Février 2022, dans le cadre du Débat d’Orientation Budgétaire, l’agglopôle, sous la présidence de François Commeinhnes, opte pour une augmentation du taux de la fiscalité directe locale pour l’ensemble des communes du Bassin de Thau.

En pleine récession, dans le contexte d’une crise majeure avec une inflation galopante notamment sur les énergies, c’est une hausse de 2,33% (2022) à 4,10% de la Taxe Foncière sur les résidences principales. A cette hausse il faut également ajouter l’évolution forfaitaire des bases fiscales estimée à 7,1% en 2023. Au bas mot une augmentation médiane de 200 euros !

A l’exception des élus de Mèze, des élus du groupe divers droite et des élus du groupe minoritaire de Sète, aucune objection ou interrogation sur la pertinence de cette hausse n’a été émise par les autres élus communautaires dans le cadre du débat d’orientation budgétaire.

Les arguments présentés par François Commeinhes s’appuient sur les ressorts habituels, à savoir les prévisions alarmistes inévitables de coupes sombres dans les domaines éducatifs, culturels, sportifs. Mais qu’en est-il des dépenses dispendieuses, ou dont la pertinence peut interroger ?

Aux différentes interventions a été opposée systématiquement l’ambition du territoire ! Pour ma part je préfère donner la priorité à l’ambition pour les habitants du territoire. Ne pas augmenter leurs charges fixes déjà suffisamment importantes est, me semble-t-il, un acte politique majeur et un signal de responsabilité. L’agglopôle doit se recentrer sur ces compétences obligatoires et amorcer les restrictions budgétaires afin de ne pas peser inutilement sur les budgets des administrés du territoire.

J’appelle chaque habitant-e, chaque citoyen-ne, chaque contribuable à interpeller dans chaque commune de notre territoire, leurs maires et représentants au sein du conseil communautaire afin de les convaincre de ne pas voter cette augmentation des taux de la fiscalité locale au prochain conseil communautaire prévu le 6 avril 2023.

Déplacement des Bains Douches sétois. Quand, où et pourquoi ?

Lire le courrier de Laura Seguin, adressé au Maire de Sète

Objet : demande de précisions concernant le transfert des actuels Bains Douches

Monsieur le Maire,

Dans son édition du 4 février dernier, le Midi Libre faisait le point sur l’aménagement de la place Victor Hugo. A cette occasion, il a été question du déplacement des emblématiques Bains Douches sétois. Au-delà de leur intérêt historique, ces derniers représentent beaucoup plus. Ils permettent à des personnes en difficulté ou des personnes de passage, d’avoir accès à l’hygiène fondamentale.

Permettez-moi tout d’abord d’exprimer mon désaccord vis-à-vis de ce choix, la rénovation de la place ne devrait pas s’accompagner de la disparition de cet équipement. Ce choix s’inscrit dans une logique générale de transformation de la ville accueillante pour les personnes les plus aisées et pour la population touristique, mais qui insidieusement, rejette les personnes les plus précaires toujours plus loin du centre-ville, nous le voyons malheureusement concernant les difficultés d’accès au logement.

Ensuite, je souhaiterais avoir les garanties qu’il s’agit bien d’un transfert et non d’une disparition de cet équipement public. Je souhaiterais également avoir davantage de précisions sur sa localisation future (plusieurs hypothèses sont-elles à l’étude ?) et sur le calendrier prévu pour ce déplacement. J’ajoute qu’il me paraît capital que le nouveau lieu choisi reste dans le cœur de ville afin de garantir son accessibilité à tous et toutes, et en particulier aux personnes qui en ont le plus besoin, pour qu’elles n’aient pas à entreprendre un long trajet.

Dans l’attente, et vous remerciant par avance de votre réponse, veuillez recevoir, Monsieur le Maire, mes salutations républicaines.

Il est où le Palais des sports ?

Tribune Sète.fr – février 2023

Depuis 2001, lors de chacune de ses campagnes électorales, F. Commeinhes promet monts et merveilles aux Sétois : une patinoire en 2001, un palais des congrès en 2008, un cinéma multiplexe en 2014 et, en 2020, comme déjà depuis 10 ans, un palais des sports ! Le maire-président de l’agglomération faisait même publier nombre d’images de synthèse du futur équipement qu’il projetait de faire construire en bord d’étang sur les anciens terrains Lafarge, pour plus de 20 millions d’euros. La localisation était critiquable et difficilement concevable au vu des contraintes réglementaires. Cela étant, Sète et son agglomération ont besoin d’un palais des sports. Non pas d’une salle mirobolante, mais d’un équipement polyvalent, à taille humaine, pouvant accueillir deux à trois mille personnes. Et, pour l’équipe pro A de l’Arago de Sète, c’est un besoin exprimé depuis longtemps. Mais, comme le dit la plus cynique des formules politiques, “les promesses n’engagent que ceux qui y croient”. Le maire de Sète en a fait sa devise. Lui et ses colistiers ont jeté aux oubliettes leur programme. A la place, la ville veut financer un énième réaménagement ou plutôt “rapétassage” de la halle du Barrou. Les Sétois y sont attachés. Mais, même agrandie, elle reste inadaptée et située dans une zone déjà très dense. Quid du stationnement pour une salle devant atteindre 1500 places ? Ce projet manque d’ambition et doit être abandonné au profit d’un vrai palais des sports.